Obèse, fumeur compulsif et diabétique. La santé de Kim Jong Un est mauvaise et malgré ses 36 ans, il suffit d’une courte absence médiatique pour que la rumeur de sa mort de devienne virale. « Alors que la crise du coronavirus accapare presque exclusivement l’attention du monde entier, Kim Jong Un continue de faire parler de lui. Les rumeurs sur l'état de santé du leader nord-coréen se sont multipliées depuis son absence remarquée le 15 avril, lors des célébrations commémorant la naissance de son grand-père, Kim Il Sung, fondateur du régime. Une source chinoise allant même jusqu’à affirmer samedi 25 avril que Kim Jong Un serait décédé » résume LCI .
L’absence à une cérémonie officielle dans un pays où le décorum est poussé à l’extrême suffit à s’interroger. A cela, il faut ajouter la méfiance inhérente que l’on développe face à un pouvoir politique qui manie désinformation et opacité dans son rapport à la communication. C’est d’ailleurs tout le paradoxe de ces pouvoirs politiques qui mentent à longueur de journée pour contrôler leurs pays : au final rien n’est reçu comme fiable et un petit vent de panique souffle en permanence.
A l’heure actuelle il ne s’agit que de rumeur si l’on en croit les déclarations publiques d’autres pays en contact avec la Corée du Nord. « Dimanche, le conseiller spécial à la sécurité nationale du président sud-coréen Moon Jae-in a cependant réagi pour minimiser la gravité des rumeurs quant aux problèmes de santé présumés du dictateur. "La position de notre gouvernement est ferme", a dit le conseiller Moon Chung-in à la chaîne de télévision américaine CNN : "Kim Jong Un est vivant et en bonne santé". Le conseiller a ajouté que le leader nord-coréen séjournait depuis le 13 avril à Wonsan, une station balnéaire dans l'est du pays. "Aucune action suspecte n'a jusqu'à présent été détectée", a-t-il affirmé » rapporte LCI.
Les Etats-Unis, qui suivent de très près la situation du pays, ont également affirmé que la rumeur était infondée. Donald Trump a déclaré que les éléments sur la santé dégradée de Kim Jong Uni étaient infondés et faux.
L’absence à une cérémonie officielle dans un pays où le décorum est poussé à l’extrême suffit à s’interroger. A cela, il faut ajouter la méfiance inhérente que l’on développe face à un pouvoir politique qui manie désinformation et opacité dans son rapport à la communication. C’est d’ailleurs tout le paradoxe de ces pouvoirs politiques qui mentent à longueur de journée pour contrôler leurs pays : au final rien n’est reçu comme fiable et un petit vent de panique souffle en permanence.
A l’heure actuelle il ne s’agit que de rumeur si l’on en croit les déclarations publiques d’autres pays en contact avec la Corée du Nord. « Dimanche, le conseiller spécial à la sécurité nationale du président sud-coréen Moon Jae-in a cependant réagi pour minimiser la gravité des rumeurs quant aux problèmes de santé présumés du dictateur. "La position de notre gouvernement est ferme", a dit le conseiller Moon Chung-in à la chaîne de télévision américaine CNN : "Kim Jong Un est vivant et en bonne santé". Le conseiller a ajouté que le leader nord-coréen séjournait depuis le 13 avril à Wonsan, une station balnéaire dans l'est du pays. "Aucune action suspecte n'a jusqu'à présent été détectée", a-t-il affirmé » rapporte LCI.
Les Etats-Unis, qui suivent de très près la situation du pays, ont également affirmé que la rumeur était infondée. Donald Trump a déclaré que les éléments sur la santé dégradée de Kim Jong Uni étaient infondés et faux.