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Yann Moix va quitter « On n’est pas couché », il suggère deux remplaçants


Clarisse Rosius
Jeudi 24 Mai 2018




Après trois années comme chroniqueur de l’émission de France 2 « On n’est pas couché », l’écrivain Yann Moix a annoncé son départ à la fin de la saison. Il suggère deux noms pour le remplacer : Raphael Enthoven et un second dont il préfère taire le nom.


Yann Moix - France 2 - Impression d'écran
Plus de Yann Moix l’an prochain dans le fauteuil de chroniqueur de « On n’est pas couché ». L’écrivain vient d’annoncer à Paris Match qu’il ne rempilera pas pour une autre saison après trois ans à ce poste. « Tous les chroniqueurs qui ont succédé à Zemmour et Naulleau sont restés trois ans. La production m'a dit qu'une quatrième année était envisageable, mais je pense que c'est bien ainsi. L'exercice est passionnant mais épuisant » a-t-il confié à Match.
 
Comme une sorte de mini bilan sur ses trois années là-bas, celui qui s’était d’abord assis dans le fauteuil des invités à l’époque des Eric Zemmour et Naulleau, retient deux moments. Il explique d’abord qu’il regrette d’avoir chargé Jean-François Copé alors qu’il était déjà « à terre » avec l’affaire Bygmalion. Puis il remet une couche sur Patrick Sébastien se souvenant de « cette conversation horrible » durant laquelle le présentateur vedette « défendait la violence sur les enfants avec des arguments de beauf (…) Ce type est l'un des moins intelligents que j'aie croisés. »
 
Pour l’année prochaine donc, la question de la succession va de nouveau se poser. « Si le principal intéressé ne répond pas à la question, il a indique avoir proposé des personnalités à l’animateur du talk-show du samedi soir de France 2. « Raphaël Enthoven aurait été un bon candidat. J’ai soufflé un autre nom à Laurent Ruquier. Il l’avait aussi en tête. Au final, c’est lui qui décide et qui l’annoncera » » rapporte TV Mag Figaro. Sur le profil de celui qui doit le remplacer, Yann Moix a affirmé à la presse qu’il aimerait que ce ne soit pas un journaliste mais plutôt quelqu’un qui défende ses opinions et non une posture de neutralité.


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