Vuitton, défilé croisière
Surtout, pour la maison Vuitton, c’est une nouveauté. C’est la première collection croisière de la marque, mais pas la dernière. Désormais, il y en aura tous les ans. Sur la côte d’Azur, Nicolas Ghesquière, en capitaine au long-cours, à la tête de Louis Vuitton depuis janvier dernier, a livré sa vision pointue et puissante de la mode du célèbre malletier parisien.
Ce rendez-vous en marge du festival de Cannes, s’est tenu dans une Principauté au bord de l’eau, pour un défilé à l’inspiration maritime : au sol, des écrans diffusent des images de grands fonds marins, quand les mannequins ondulent comme la houle. L’élégance parisienne se mêle subtilement aux codes du sport, couleurs flashs, matières poids-plume, clin d’œil au néoprène des combinaisons de plongée, bandes de jersey sur hauts en dentelle, tailles élastiquées, incrustations d’algues...
« Le monde aquatique. »
Avec des imprimés marins, et un corail omniprésent, c’est sport, mais c’est chic. Tous les codes de la Maison sont rassemblés sous forme d’accessoires, des malles XXS, le sac seau renouvelé, quadrillage, patchworks de LV estampillés en veux-tu en voilà. Pour le créateur, connu pour ses pièces avant-gardistes, innovantes et futuristes chez Balenciaga, la base line du défilé croisière Vuitton, est le luxe. Mais le luxe authentique, avec fonctions à la clé.
Surtout, dans cet esprit croisière - à l’origine, des transhumances hivernales des riches clientes pour rompre la longueur de l’hiver - Nicolas Ghesquière n’a pas hésité à faire défiler des filles en fourrure ou en maillot de bain. Parce qu’on ne sait jamais très bien où les très riches ont envie de filer au mois de novembre. Vison rasé donc, et spartiates multico.
Pas la révolution, mais la suite ou l’évolution, du défilé de mars qui a eu lieu à Paris lors de la semaine de la mode, son prolongement en quelque sorte. Au premier rang, la fidèle de toujours, Charlotte Gainsbourg, le nouveau visage de la maison. À Monaco, la collection croisière Vuitton, c’est un peu « Le monde aquatique » graphique et chic.
Ce rendez-vous en marge du festival de Cannes, s’est tenu dans une Principauté au bord de l’eau, pour un défilé à l’inspiration maritime : au sol, des écrans diffusent des images de grands fonds marins, quand les mannequins ondulent comme la houle. L’élégance parisienne se mêle subtilement aux codes du sport, couleurs flashs, matières poids-plume, clin d’œil au néoprène des combinaisons de plongée, bandes de jersey sur hauts en dentelle, tailles élastiquées, incrustations d’algues...
« Le monde aquatique. »
Avec des imprimés marins, et un corail omniprésent, c’est sport, mais c’est chic. Tous les codes de la Maison sont rassemblés sous forme d’accessoires, des malles XXS, le sac seau renouvelé, quadrillage, patchworks de LV estampillés en veux-tu en voilà. Pour le créateur, connu pour ses pièces avant-gardistes, innovantes et futuristes chez Balenciaga, la base line du défilé croisière Vuitton, est le luxe. Mais le luxe authentique, avec fonctions à la clé.
Surtout, dans cet esprit croisière - à l’origine, des transhumances hivernales des riches clientes pour rompre la longueur de l’hiver - Nicolas Ghesquière n’a pas hésité à faire défiler des filles en fourrure ou en maillot de bain. Parce qu’on ne sait jamais très bien où les très riches ont envie de filer au mois de novembre. Vison rasé donc, et spartiates multico.
Pas la révolution, mais la suite ou l’évolution, du défilé de mars qui a eu lieu à Paris lors de la semaine de la mode, son prolongement en quelque sorte. Au premier rang, la fidèle de toujours, Charlotte Gainsbourg, le nouveau visage de la maison. À Monaco, la collection croisière Vuitton, c’est un peu « Le monde aquatique » graphique et chic.
