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L’ouverture est prévue pour mars 2019. Ce lieu innovant pour faire face à l’épineuse question des violentes faites aux femmes va être lancée en Seine-Saint-Denis. « La création de ce lieu va être dévoilée ce jeudi lors des rencontres de l'Observatoire des violences envers les femmes du conseil départemental de Seine-Saint-Denis. Ce centre d’accueil situé à 5 minutes de la station Porte de Bagnolet fonctionnera quatre demi-journées par semaine. « Ce sera un lieu d’animations pour les jeunes femmes, d’activités, de projets collectifs, explique Marie Cervetti dont l’association gérera la structure. Il y aura des éducatrices qui pourront repérer les jeunes filles ou jeunes femmes victimes de violences. » Celles-ci peuvent être conjugales mais également sexistes (mariage forcé, excision, gifle parentale pour ne pas avoir fait les tâches ménagères, etc.) ou sexuelles (viol, prostitution, etc.) » rapporte 20 Minutes.
Le principe de cette structure est intéressant puisqu’il vise à être identifié comme le lieu où se rendre lorsque les victimes cherchent des réponses à leur malheur.
Dans le même temps ce sera l’occasion pour les militants de gagner en expériences et de mieux évaluer les besoins des jeunes femmes en détresse. « Au centre, on trouvera « une coordinatrice, une secrétaire, une travailleuse sociale, une psychologue et une infirmière, énumère Stéphane Troussel, président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis qui subventionne le projet. Il y aura aussi une permanence du centre d'information sur les droits des femmes et du planning familial ». Après le téléphone d'urgence pour femmes battues ou l’ordonnance de protection, l’élu se félicite de ce nouveau projet innovant expérimenté en Seine-Saint-Denis » conclue le quotidien gratuit. La démarche interroge cependant alors qu’avec les moteurs de recherches les structures et associations de soutien sont déjà identifiées. Est-ce que ce lieu encouragera celles qui sont enfermées dans le mutisme et persuadées qu’il n’y a pas de solution à leurs problèmes ?
Le principe de cette structure est intéressant puisqu’il vise à être identifié comme le lieu où se rendre lorsque les victimes cherchent des réponses à leur malheur.
Dans le même temps ce sera l’occasion pour les militants de gagner en expériences et de mieux évaluer les besoins des jeunes femmes en détresse. « Au centre, on trouvera « une coordinatrice, une secrétaire, une travailleuse sociale, une psychologue et une infirmière, énumère Stéphane Troussel, président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis qui subventionne le projet. Il y aura aussi une permanence du centre d'information sur les droits des femmes et du planning familial ». Après le téléphone d'urgence pour femmes battues ou l’ordonnance de protection, l’élu se félicite de ce nouveau projet innovant expérimenté en Seine-Saint-Denis » conclue le quotidien gratuit. La démarche interroge cependant alors qu’avec les moteurs de recherches les structures et associations de soutien sont déjà identifiées. Est-ce que ce lieu encouragera celles qui sont enfermées dans le mutisme et persuadées qu’il n’y a pas de solution à leurs problèmes ?