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Donald Trump a promis un vaccin dans un mois. En pleine campagne électorale, les promesses n’engagent que ceux qui les formulent. Mais cette déclaration nous revient à l’esprit alors que les annonces de troisième puis quatrième vague ont été faites par des membres du conseil scientifique. Car sans vaccin, il semble bien que nous soyons collectivement incapables de nous projeter au-delà de quelques semaines. Voyant les taux d’occupation des soins intensifs comme signaux d’une nouvelle époque de restrictions aux conséquences dramatiques pour l’économie. La banque centrale américaine l’avait dit dès le printemps dernier, impossible de tabler sur une reprise de l’activité totale sans vaccin.
Or, à y regarder de plus près, le vaccin n’est pas pour demain. La société présentée comme la plus proche est Moderna Therpaeutic. « La biotech américaine Moderna dit ainsi "préparer activement" le lancement de son vaccin, même si celui-ci n'est encore qu'en phase d'essai clinique. Mais le laboratoire, qui a indiqué jeudi 29 octobre avoir reçu au troisième trimestre 1,1 milliard de dollars de dépôts, compte déposer auprès de l'Agence des médicaments (FDA) une demande d'autorisation en urgence fin novembre aux États-Unis », assure RTL.
La société qui a déjà signé des contrats avec plusieurs pays n’est pas la seule à annoncer le dénouement proche. « Une autre lueur d'espoir provient également d'Europe. Selon le Times, le gouvernement britannique estime en effet que le vaccin allemand développé par BioNTech et Pfizer pourrait être disponible avant Noël. Ce potentiel vaccin est l'un des six que Londres a déjà commandé, avec 40 millions de doses, deux injections étant nécessaires pour chaque patient » appuie la radio.
Si les autorités sanitaires américaines assurent que les premiers vaccins seront administrés avant Noël pour les plus vulnérables, puis petit à petit à toute la population d’ici mars, rien n’a été dit par nos autorités. « Au total, 11 vaccins européens, américains, chinois, indiens et russes sont actuellement testés dans le monde dans des essais à grande échelle, selon un décompte établi par le New York Times. Ils se trouvent tous au stade le plus avancé, la phase 3, où l'efficacité du vaccin est mesurée à grande échelle sur des dizaines de milliers de volontaires répartis sur plusieurs continents. AstraZeneca, en partenariat avec l'université britannique d'Oxford, a engagé des essais de ce type aux Etats-Unis. Le laboratoire pharmaceutique britannique a annoncé lundi 26 octobre que son essai, qui avait été momentanément suspendu début septembre, entraînait une réponse immunitaire encourageante de la part des jeunes adultes et des personnes âgées. Les résultats sont attendus pour cette année pour ce projet de vaccin qui est l'un des plus avancés du monde » appuie RTL.
Or, à y regarder de plus près, le vaccin n’est pas pour demain. La société présentée comme la plus proche est Moderna Therpaeutic. « La biotech américaine Moderna dit ainsi "préparer activement" le lancement de son vaccin, même si celui-ci n'est encore qu'en phase d'essai clinique. Mais le laboratoire, qui a indiqué jeudi 29 octobre avoir reçu au troisième trimestre 1,1 milliard de dollars de dépôts, compte déposer auprès de l'Agence des médicaments (FDA) une demande d'autorisation en urgence fin novembre aux États-Unis », assure RTL.
La société qui a déjà signé des contrats avec plusieurs pays n’est pas la seule à annoncer le dénouement proche. « Une autre lueur d'espoir provient également d'Europe. Selon le Times, le gouvernement britannique estime en effet que le vaccin allemand développé par BioNTech et Pfizer pourrait être disponible avant Noël. Ce potentiel vaccin est l'un des six que Londres a déjà commandé, avec 40 millions de doses, deux injections étant nécessaires pour chaque patient » appuie la radio.
Si les autorités sanitaires américaines assurent que les premiers vaccins seront administrés avant Noël pour les plus vulnérables, puis petit à petit à toute la population d’ici mars, rien n’a été dit par nos autorités. « Au total, 11 vaccins européens, américains, chinois, indiens et russes sont actuellement testés dans le monde dans des essais à grande échelle, selon un décompte établi par le New York Times. Ils se trouvent tous au stade le plus avancé, la phase 3, où l'efficacité du vaccin est mesurée à grande échelle sur des dizaines de milliers de volontaires répartis sur plusieurs continents. AstraZeneca, en partenariat avec l'université britannique d'Oxford, a engagé des essais de ce type aux Etats-Unis. Le laboratoire pharmaceutique britannique a annoncé lundi 26 octobre que son essai, qui avait été momentanément suspendu début septembre, entraînait une réponse immunitaire encourageante de la part des jeunes adultes et des personnes âgées. Les résultats sont attendus pour cette année pour ce projet de vaccin qui est l'un des plus avancés du monde » appuie RTL.