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Le dijonnais a été jugé devant le tribunal correctionnel de Dijon, car il avait refusé les 100 heures de travail d'intérêt général (TIG) requises à l'audience, selon les informations de son avocat Me Karima Manhouli.
« Les faits remontent à juillet dernier, explique un article en ligne du journal L’Obs , un voisin, alarmé par le nom que le jeune homme avait donné à sa "box internet", avait alerté la police qui avait ouvert une enquête. »
« Les faits remontent à juillet dernier, explique un article en ligne du journal L’Obs , un voisin, alarmé par le nom que le jeune homme avait donné à sa "box internet", avait alerté la police qui avait ouvert une enquête. »
Des perquisitions qui n’ont rien donné
L’avocat du jeune dijonnais, qui a plaidé la relaxe, assure : « Ce n'est pas de l'apologie du terrorisme ! Il y avait seulement le mot 'Daesh 21', c'est une bêtise d'un jeune de 18 ans qui n'est pas en mesure d'expliquer pourquoi il l'a fait ». Elle ajoute : « Il y a eu des investigations, des perquisitions, mais on n'a rien trouvé ».
Pour elle, « il n'y a aucun élément du dossier qui laisse penser qu'il peut partager ce courant de pensée, au contraire il l'a réfuté fermement ». Selon l’avocate, « depuis la circulaire du 12 janvier 2015, qui demande de poursuivre et de déférer à brefs délais tout acte entrant dans la qualification d'apologie du terrorisme, il y a de plus en plus de dossiers sous ce chef de prévention. »
Lire l’intégralité de l’article de L’Obs ici.
Pour elle, « il n'y a aucun élément du dossier qui laisse penser qu'il peut partager ce courant de pensée, au contraire il l'a réfuté fermement ». Selon l’avocate, « depuis la circulaire du 12 janvier 2015, qui demande de poursuivre et de déférer à brefs délais tout acte entrant dans la qualification d'apologie du terrorisme, il y a de plus en plus de dossiers sous ce chef de prévention. »
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