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En leur demandant s’ils voulaient toucher plus d’argent, les investisseurs ont majoritairement répondu oui. « Ils sont toujours pour. Les actionnaires de Twitter ont approuvé, mardi 13 septembre, l'accord de rachat de la plateforme par Elon Musk . Le vote, à 98,6% en faveur de la transaction, consolide la position du réseau social à un mois de l'ouverture du procès qu'il a lancé contre Musk pour le forcer à honorer son engagement. Début juillet, le patron de Tesla et SpaceX avait stoppé brutalement la procédure de rachat de la plateforme pour une valeur de 44 milliards de dollars. Mais ce scrutin représente une maigre consolation pour Twitter, décrié en public par un ancien haut responsable. Peiter Zatko, ancien chef de la sécurité du réseau social licencié en janvier, a détaillé mardi son rapport remis aux autorités américaines sur de graves failles de sécurité. "La direction de Twitter trompe les élus, les régulateurs et même son propre conseil d'administration", a-t-il déclaré d'emblée aux sénateurs américains » rapporte France Info .
Le bras de fer est loin d’être terminé et le milliardaire continue à demander au réseau social d’être plus transparent sur les bots et utilisateurs réels du réseau. Une donnée essentielle pour évaluer la rentabilité du groupe mais aussi les risques de manipulations. Des accusations qui étaient balayées d’un revers de la main par lan direction jusqu’à cet été.
« Fin août, la révélation par la presse du rapport du lanceur d'alerte, très respecté dans le milieu de la cybersécurité, avait fait l'effet d'une bombe. Twitter a rejeté ces accusations comme infondées, mais elles sont tombées à pic pour Elon Musk. Celui qui voulait un temps faire de la plateforme une place publique "essentielle à la démocratie" estime que la société basée à San Francisco lui a menti sur la proportion de comptes automatisés et de spams parmi ses utilisateurs. Elle dépasserait à son avis largement les 5% estimés par la direction de Twitter » ajoute France Info.
Le bras de fer est loin d’être terminé et le milliardaire continue à demander au réseau social d’être plus transparent sur les bots et utilisateurs réels du réseau. Une donnée essentielle pour évaluer la rentabilité du groupe mais aussi les risques de manipulations. Des accusations qui étaient balayées d’un revers de la main par lan direction jusqu’à cet été.
« Fin août, la révélation par la presse du rapport du lanceur d'alerte, très respecté dans le milieu de la cybersécurité, avait fait l'effet d'une bombe. Twitter a rejeté ces accusations comme infondées, mais elles sont tombées à pic pour Elon Musk. Celui qui voulait un temps faire de la plateforme une place publique "essentielle à la démocratie" estime que la société basée à San Francisco lui a menti sur la proportion de comptes automatisés et de spams parmi ses utilisateurs. Elle dépasserait à son avis largement les 5% estimés par la direction de Twitter » ajoute France Info.