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On le sait, le Covid-19 est dangereux pour certaines personnes. Parmi celles-ci certaines seront hospitalisées et parmi ces dernières certaines meurent. Mais alors que les avertissements expliquent depuis le début que tout le monde peut contracter une forme grave, une étude confirme que nous ne sommes pas égaux face au virus. Réalisée par l’Agence du médicament (ANSM) et l’Assurance maladie, plus exactement par le groupe EPI-PHARE qu’elles forment, l’enquête statistique donne une image précise de la situation française.
« EPI-PHARE a collecté les données de 66 millions de Français pendant la première vague de l'épidémie (du 15 février au 15 juin 2020). L'objectif était « d'identifier les maladies chroniques et les facteurs tels que l'âge ou le genre susceptibles de présenter un sur-risque d'hospitalisation ou de décès pour le Covid-19 », détaille le groupe. Les résultats ont été publiés ce 9 février » explique CNews qui a publié un article à ce sujet.
« L'étude confirme tout d'abord que les personnes âgées sont les plus fragiles face au coronavirus. D'ailleurs, plus la personne vieillit, plus le risque d'être hospitalisée ou de succomber à la maladie augmente. Par exemple, une personne de 60 ans a deux fois plus de risques d'être hospitalisée qu'une personne de 40 ans. Concernant le risque de décès, il est multiplié par 12 chez les 60-64 ans par rapport aux 40-44 ans. Deuxième constat : les femmes résistent mieux au Covid-19 que les hommes. Pour ceux-ci, le risque de mourir est multiplié par 2,1. Enfin, sept pathologies rendent les patients particulièrement vulnérables face au coronavirus : la trisomie 21, le retard mental, la mucoviscidose, l'insuffisance rénale chronique terminale sous dialyse, le cancer actif du poumon, la transplation rénale et la transplantation du poumon » rapporte la chaine d’infos. Des éléments qui ne surprennent pas mais confirme ce que l’on savait sur les publics plus vulnérables.
« EPI-PHARE a collecté les données de 66 millions de Français pendant la première vague de l'épidémie (du 15 février au 15 juin 2020). L'objectif était « d'identifier les maladies chroniques et les facteurs tels que l'âge ou le genre susceptibles de présenter un sur-risque d'hospitalisation ou de décès pour le Covid-19 », détaille le groupe. Les résultats ont été publiés ce 9 février » explique CNews qui a publié un article à ce sujet.
« L'étude confirme tout d'abord que les personnes âgées sont les plus fragiles face au coronavirus. D'ailleurs, plus la personne vieillit, plus le risque d'être hospitalisée ou de succomber à la maladie augmente. Par exemple, une personne de 60 ans a deux fois plus de risques d'être hospitalisée qu'une personne de 40 ans. Concernant le risque de décès, il est multiplié par 12 chez les 60-64 ans par rapport aux 40-44 ans. Deuxième constat : les femmes résistent mieux au Covid-19 que les hommes. Pour ceux-ci, le risque de mourir est multiplié par 2,1. Enfin, sept pathologies rendent les patients particulièrement vulnérables face au coronavirus : la trisomie 21, le retard mental, la mucoviscidose, l'insuffisance rénale chronique terminale sous dialyse, le cancer actif du poumon, la transplation rénale et la transplantation du poumon » rapporte la chaine d’infos. Des éléments qui ne surprennent pas mais confirme ce que l’on savait sur les publics plus vulnérables.