Creative Commons - Pixabay
Une semaine dans la ville de l’amour ne fait plus autant rêver les touristes chinois. Alors que la France, Paris en tête, voit revenir les touristes européens, un article du « Figaro » note que « seuls les Chinois manquent à l’appel ».
« De guerre lasse, personne ne les attend plus avant 2024, voire 2025. Ce retard paraît insensé alors que les Chinois voyagent à nouveau hors de leur pays et que l’Hexagone reste leur destination de prédilection en Europe. Depuis le 15 mars, rien n’empêche les groupes de venir: la France, comme 39 autres destinations, a obtenu l’autorisation du gouvernement chinois de les accueillir. Pourtant, ils sont quasiment aux abonnés absents » explique l’article du quotidien.
La délivrance des visas pour Chinois en France est à 20% du niveau d’avant Covid, contre 80% en Italie par exemple. Une situation qui peut en partie s’expliquer par les délais plus longs pour l’obtention d’un visa pour notre pays que pour des voisins européens. Mais pas uniquement : « L’autre point noir concerne la pénurie de vols entre la France et la Chine. Les acteurs du tourisme estiment que la DGAC (Direction générale de l’aviation civile) fait tout pour contingenter l’offre. Une façon de protéger Air France face à l’appétit des transporteurs aériens chinois », note Le Figaro.
Avec les visas Schengen pourtant, les touristes chinois pourraient passer en France après avoir visité d’autres pays européens. S’il n’en est rien c’est peut-être aussi parce que notre pays renvoie de moins en moins une image idyllique. Manifestations et grèves puis émeutes ont été retransmises dans le monde entier. Loin, très loin du cliché du pays romantique et apaisé qui donnait envie aux touristes chinois de s’amasser sous la Tour Eiffel pour ue photo souvenir.
Retrouver ici en intégralité l’article du « Figaro » cité
« De guerre lasse, personne ne les attend plus avant 2024, voire 2025. Ce retard paraît insensé alors que les Chinois voyagent à nouveau hors de leur pays et que l’Hexagone reste leur destination de prédilection en Europe. Depuis le 15 mars, rien n’empêche les groupes de venir: la France, comme 39 autres destinations, a obtenu l’autorisation du gouvernement chinois de les accueillir. Pourtant, ils sont quasiment aux abonnés absents » explique l’article du quotidien.
La délivrance des visas pour Chinois en France est à 20% du niveau d’avant Covid, contre 80% en Italie par exemple. Une situation qui peut en partie s’expliquer par les délais plus longs pour l’obtention d’un visa pour notre pays que pour des voisins européens. Mais pas uniquement : « L’autre point noir concerne la pénurie de vols entre la France et la Chine. Les acteurs du tourisme estiment que la DGAC (Direction générale de l’aviation civile) fait tout pour contingenter l’offre. Une façon de protéger Air France face à l’appétit des transporteurs aériens chinois », note Le Figaro.
Avec les visas Schengen pourtant, les touristes chinois pourraient passer en France après avoir visité d’autres pays européens. S’il n’en est rien c’est peut-être aussi parce que notre pays renvoie de moins en moins une image idyllique. Manifestations et grèves puis émeutes ont été retransmises dans le monde entier. Loin, très loin du cliché du pays romantique et apaisé qui donnait envie aux touristes chinois de s’amasser sous la Tour Eiffel pour ue photo souvenir.
Retrouver ici en intégralité l’article du « Figaro » cité