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Protéger l’écosystème nécessite de comprendre les apports des différentes zones naturelles. A ce titre, le communiqué de l’Observatoire des Forêts d’Afrique centrale (OFAC) sur les zones humides est essentiel. « Les zones humides offrent un large éventail de services écosystémiques qui contribuent au bien-être humain. Malgré leur rôle essentiel dans les efforts de régulation du climat mondial, les zones humides restent faiblement prises en compte dans les plans nationaux et régionaux de financement et d'aménagement du territoire », explique le communiqué de l’OFAC publié sur son site internet.
L’organisation publie une cartographie qui résume en un coup d’œil les enjeux des zones humides de cette région d’Afrique et les conséquences plantaires de leurs détérioration. Pour souligner l’importance des zones humides, ces dernières peuvent être placées sous le statut spécifique de site Ramsar, désignant les zones humides d’importances internationales. Dans la zone d’Afrique centrale se trouvent les Ramsar les plus importantes du monde. Un enjeu planétaire tandis que les zones humides disparaissent « trois fois plus rapidement que les forêts », précise le document disponible en un clic.
« Pour la mise en oeuvre des activités de L'OFAC, un consortium formé par le Centre commun de recherche de la Commission européenne, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), le Centre pour la recherche forestière internationale (CIFOR), la société FRM Ingénierie, et l'Université Catholique de Louvain (UCL) a été formé. Le principal bailleur de l'OFAC est l'Union européenne. Depuis novembre 2010 l'OFAC est devenu une cellule du Secrétariat Exécutif de la Commission des forêts d'Afrique centrale (COMIFAC) après l'adoption du dispositif institutionnel par le Conseil des Ministres. En janvier 2011, un bureau de coordination pour l'OFAC, basé au Secrétariat Exécutif de la COMIFAC á Yaoundé, a été établi afin d'entériner la résolution du Conseil des Ministres » ajoute l’organisation.
Retrouver ici les publications de l’ Observatoire des forêts d’Afrique centrale sur son site
L’organisation publie une cartographie qui résume en un coup d’œil les enjeux des zones humides de cette région d’Afrique et les conséquences plantaires de leurs détérioration. Pour souligner l’importance des zones humides, ces dernières peuvent être placées sous le statut spécifique de site Ramsar, désignant les zones humides d’importances internationales. Dans la zone d’Afrique centrale se trouvent les Ramsar les plus importantes du monde. Un enjeu planétaire tandis que les zones humides disparaissent « trois fois plus rapidement que les forêts », précise le document disponible en un clic.
« Pour la mise en oeuvre des activités de L'OFAC, un consortium formé par le Centre commun de recherche de la Commission européenne, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), le Centre pour la recherche forestière internationale (CIFOR), la société FRM Ingénierie, et l'Université Catholique de Louvain (UCL) a été formé. Le principal bailleur de l'OFAC est l'Union européenne. Depuis novembre 2010 l'OFAC est devenu une cellule du Secrétariat Exécutif de la Commission des forêts d'Afrique centrale (COMIFAC) après l'adoption du dispositif institutionnel par le Conseil des Ministres. En janvier 2011, un bureau de coordination pour l'OFAC, basé au Secrétariat Exécutif de la COMIFAC á Yaoundé, a été établi afin d'entériner la résolution du Conseil des Ministres » ajoute l’organisation.
Retrouver ici les publications de l’ Observatoire des forêts d’Afrique centrale sur son site