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Plutôt qu’une date ou une promesse, le ministre de la Santé a préféré détailler les trois indicateurs qui doivent être au vert pour décider de la suppression du passe vaccinal. Pour commencer, l’œil est sur les services de réanimation qui sont ne nerf de la guerre depuis bientôt deux ans. « Le nombre de patients en réanimation est repassé ce vendredi 18 février, sous la barre des 3 000. L’objectif, pour le ministre de la Santé, est maintenant d’atteindre entre 1000 et 2000 patients en réanimation. Un chiffre bas qui permettrait qu’aucun hôpital ne soit obligé de déprogrammer des soins à cause du Covid-19 et soit ainsi en capacité de fonctionner normalement » explique La Dépêche .
Arrive ensuite le taux de reproduction du virus, continue le journal local : « Appelé aussi « Facteur R », le taux de reproduction du virus est également suivi de près. Ce facteur indique le nombre de personnes que chaque patient contagieux infecte en moyenne. Lorsqu’il est inférieur à 1 le nombre de nouveaux cas diminue avec le temps. Il faudrait donc que celui-ci soit « durablement inférieur à 1 » pour autoriser la levée du pass vaccinal, a indiqué le ministre de la santé ».
Et enfin, le taux d’incidence qui est lié au Facteur R, et qui correspond au nombre de cas par semaine pour 100 000 habitants, devra être fixé entre 300 et 500 pour que les restrictions sanitaires soient levées. Un niveau qui lui aussi est espéré dans les trois semaines.
En espérant la disparition du passe vaccinal et le retour des visages dans la plupart des endroits courant mars, le ministère préfère rappeler à l’envie ces critères pour qu’aucune date ne paraisse être une promesse. Sans pour autant préciser si les restrictions seront automatiquement de retour à l’avenir quand les différents seuils seront franchis.
Arrive ensuite le taux de reproduction du virus, continue le journal local : « Appelé aussi « Facteur R », le taux de reproduction du virus est également suivi de près. Ce facteur indique le nombre de personnes que chaque patient contagieux infecte en moyenne. Lorsqu’il est inférieur à 1 le nombre de nouveaux cas diminue avec le temps. Il faudrait donc que celui-ci soit « durablement inférieur à 1 » pour autoriser la levée du pass vaccinal, a indiqué le ministre de la santé ».
Et enfin, le taux d’incidence qui est lié au Facteur R, et qui correspond au nombre de cas par semaine pour 100 000 habitants, devra être fixé entre 300 et 500 pour que les restrictions sanitaires soient levées. Un niveau qui lui aussi est espéré dans les trois semaines.
En espérant la disparition du passe vaccinal et le retour des visages dans la plupart des endroits courant mars, le ministère préfère rappeler à l’envie ces critères pour qu’aucune date ne paraisse être une promesse. Sans pour autant préciser si les restrictions seront automatiquement de retour à l’avenir quand les différents seuils seront franchis.