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Il y a un peu plus d’un an, Ségolène Royal était considérée comme l’une des figures du PS les plus compatibles avec la majorité présidentielle. En quelques mois, la femme politique est le symbole de la perte de la position de force du président Emmanuel Macron.
« L'ancienne ministre socialiste française Ségolène Royal, candidate malheureuse à la présidentielle de 2007, n'a pas exclu dimanche d'être un jour à nouveau candidate à l'Élysée, indiquant que son combat pour l'environnement passe «peut-être» par là. Interrogée sur France 2 dans l'émission 20h30 Le Dimanche, pour savoir si elle avait définitivement renoncé à devenir un jour présidente de la République, Ségolène Royal, 65 ans, a d'abord répondu: «Je ne me pose pas la question». «Ce que je peux vous dire de plus précis c'est que le combat de ma vie, et aujourd'hui plus que jamais, c'est le combat pour la protection de la planète», a-t-elle ensuite ajouté » rapporte Le Figaro .
Interrogée sur une éventuelle ambition à la présidence de la République, elle n’a pas rejeté l’idée, répondant « peut-être » à Laurent Delahousse. Depuis le début de l’été et les fissures apparentes dans la majorité présidentielle, les pronostics vont bon train sur les figures capables de recomposer le paysage politique français. « Première femme à accéder au second tour d'une présidentielle en France, Ségolène Royal avait été battue en 2007 par son adversaire de droite, Nicolas Sarkozy. L'ancienne compagne du président François Hollande, avec qui elle a eu quatre enfants, a été ministre de l'Environnement de 2014 à 2017, avant d'être nommée par le président Emmanuel Macron ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique » rappelle le quotidien.
Pressentie pour prendre la tête des listes PS pour les élections européennes de 2019, elle se donne encore quelques mois pour réfléchir. Les sondages ne lui sont en effet pas favorables avec une différence d’à peine 1,5 point selon qu’elle porte ou non cette liste.
« L'ancienne ministre socialiste française Ségolène Royal, candidate malheureuse à la présidentielle de 2007, n'a pas exclu dimanche d'être un jour à nouveau candidate à l'Élysée, indiquant que son combat pour l'environnement passe «peut-être» par là. Interrogée sur France 2 dans l'émission 20h30 Le Dimanche, pour savoir si elle avait définitivement renoncé à devenir un jour présidente de la République, Ségolène Royal, 65 ans, a d'abord répondu: «Je ne me pose pas la question». «Ce que je peux vous dire de plus précis c'est que le combat de ma vie, et aujourd'hui plus que jamais, c'est le combat pour la protection de la planète», a-t-elle ensuite ajouté » rapporte Le Figaro .
Interrogée sur une éventuelle ambition à la présidence de la République, elle n’a pas rejeté l’idée, répondant « peut-être » à Laurent Delahousse. Depuis le début de l’été et les fissures apparentes dans la majorité présidentielle, les pronostics vont bon train sur les figures capables de recomposer le paysage politique français. « Première femme à accéder au second tour d'une présidentielle en France, Ségolène Royal avait été battue en 2007 par son adversaire de droite, Nicolas Sarkozy. L'ancienne compagne du président François Hollande, avec qui elle a eu quatre enfants, a été ministre de l'Environnement de 2014 à 2017, avant d'être nommée par le président Emmanuel Macron ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique » rappelle le quotidien.
Pressentie pour prendre la tête des listes PS pour les élections européennes de 2019, elle se donne encore quelques mois pour réfléchir. Les sondages ne lui sont en effet pas favorables avec une différence d’à peine 1,5 point selon qu’elle porte ou non cette liste.