La critique de Nathalie Simon, parue dans le Figaro du 15 avril, la veille de la sortie en salle, dézinguait le film en lui octroyant 1 étoile sur les 5 que comporte le barème du quotidien ! La version en ligne n'affiche pas le barème d'évaluation de la version papier mais on retrouve des traces de... 2 étoiles sur Allo Ciné, ce qui n'est pas beaucoup mieux.
" «Quatre mariages, deux têtes d'enterrement», surtitre l'affiche en guise de slogan. Philippe de Chauveron offre un concentré de cas d'intolérance et de préjugés racistes. Il tente à grands renforts de messages martelés à coups de marteau-piqueur de tordre le cou aux clichés. «On a tous un petit côté raciste au fond», reconnaît Claude. Malgré le rythme et les dialogues inégaux, et une mise en scène qui manque de légèreté, certains passages sont franchement hilarants."
Bien entendu, un critique cinéma a parfaitement le droit de ne pas aimer un film. On passe rapidement sur l'épisode houleux qui a opposé ces derniers mois UGC et Gaumont aux critiques de cinéma français, interdits d'avant-première car accusé par les deux distributeurs de trop systématiquement dézinguer les films !
Non, ce qui chagrine, c'est de voir que moins de trois semaines plus tard, le Figaro faisait la Une avec le film, et expliquait par A + B dans un grand dossier pourquoi ce film était un succès, ce qu'il apportait au débat national sur l'immigration et l'assimilation, etc etc.. Tout en se glorifiant d'avoir été parmi les premiers à en dire du bien !
" «Quatre mariages, deux têtes d'enterrement», surtitre l'affiche en guise de slogan. Philippe de Chauveron offre un concentré de cas d'intolérance et de préjugés racistes. Il tente à grands renforts de messages martelés à coups de marteau-piqueur de tordre le cou aux clichés. «On a tous un petit côté raciste au fond», reconnaît Claude. Malgré le rythme et les dialogues inégaux, et une mise en scène qui manque de légèreté, certains passages sont franchement hilarants."
Bien entendu, un critique cinéma a parfaitement le droit de ne pas aimer un film. On passe rapidement sur l'épisode houleux qui a opposé ces derniers mois UGC et Gaumont aux critiques de cinéma français, interdits d'avant-première car accusé par les deux distributeurs de trop systématiquement dézinguer les films !
Non, ce qui chagrine, c'est de voir que moins de trois semaines plus tard, le Figaro faisait la Une avec le film, et expliquait par A + B dans un grand dossier pourquoi ce film était un succès, ce qu'il apportait au débat national sur l'immigration et l'assimilation, etc etc.. Tout en se glorifiant d'avoir été parmi les premiers à en dire du bien !