Question spéciale 2.0 : comment se faire remarquer sur Instagram ? Quand on prend connaissance des chiffres vertigineux d’Instagram (le flux, le nombre d’utilisateurs actifs, la déferlante de nouvelles fonctionnalités et d'options), la question semble moins anodine. En effet, la plateforme de partage de photos en ligne, génère 70 millions de clichés et de vidéos chaque jour. 300 millions d’utilisateurs actifs postent quotidiennement des photos sur le réseau social. Du coup, pour se démarquer de la masse, les conseils sont utiles. Pour devenir une « instargram » ou une « instagrameuse » de premier ordre, le site du Figaro Madame donne quelques astuces.
Le premier commandement, si on peut dire, est d’avoir le meilleur profil possible. En trois mots : qu’il soit esthétique, ergonomique et « design ». Ces trois éléments devraient permettre d’être plus visible que les autres, et de gagner des followers. Mais ça ne tombe pas du ciel ! Il faut bosser ! Dans la pratique, avoir un univers homogène et uniforme est important, tout comme « un concept, une spécialité », rapporte Le Figaro. « Tous les comptes qui fonctionnent sont créatifs, ont un concept ou un univers qui leur sont propres », explique ainsi au Figaro, Benjamin Puygrenier, l’attaché de presse d’Instagram France.
En somme, que les photos prises une par une, s’inscrivent dans le même esprit que la vision du compte dans sa globalité. Tout doit sembler bien clair et aller dans une seule et même direction. Exit donc les applications de recadrage comme Instasize. Les pros recommandent de coller au format d’Instagram, sans en changer. Toujours dans cette recherche d'unité, il est conseillé d'utiliser toujours les mêmes filtres. « Il faut une uniformité, mais le contenu peut être varié. Il faut simplement que tes chaussures ressortent de la même couleur que ta salade », explique au Figaro, Coralie et ses 36 400 abonnés.
Ainsi, le réseau social redouble d’innovations et de fonctionnalités pour devenir un as d’Instagram. La base ? Que les photos soient les plus réussies possibles. En utilisant par exemple, un max d’outils de retouche, des filtres, des contrastes, des effets de saturation et des jeux de lumière. En plus des applications propres à Instagram, d’autres existent, à l’image d’After light, VSCO CAM, Photoshop express… Dans tous les cas, il est important de maîtriser le principe de phonéographie. Derrière le nom savant, il s’agit tout simplement de prendre de très bonnes photos numériques avec un smartphone !
En dehors de l’esthétique, il s’agit aussi d’être assidu. Régulier en somme, pour éviter, l’effet retard unfollow, le désabonnement de ses abonnés ou le purgatoire d’Instagram ! Avoir une ligne éditoriale cohérente, de bonnes légendes, qui semble t-il, sont presque aussi importantes que les photos. Sans oublier la géolocalisation et les hashtags. Et plus ils sont nombreux, entre trois et dix, mieux c’est. Plus ils sont utilisés sur le réseau aussi, comme #love ou #paris. Aujourd’hui, on peut d’ailleurs connaître en temps réel les hashtags les plus populaires à l’instant où l'on se connecte. C’est le même principe que Twitter et ses top tweets. Dans tous les cas, il faut savoir doser, et ne pas surcharger ses abonnés avec une déferlante de posts. Trop de photos tuent la photo.
Le premier commandement, si on peut dire, est d’avoir le meilleur profil possible. En trois mots : qu’il soit esthétique, ergonomique et « design ». Ces trois éléments devraient permettre d’être plus visible que les autres, et de gagner des followers. Mais ça ne tombe pas du ciel ! Il faut bosser ! Dans la pratique, avoir un univers homogène et uniforme est important, tout comme « un concept, une spécialité », rapporte Le Figaro. « Tous les comptes qui fonctionnent sont créatifs, ont un concept ou un univers qui leur sont propres », explique ainsi au Figaro, Benjamin Puygrenier, l’attaché de presse d’Instagram France.
En somme, que les photos prises une par une, s’inscrivent dans le même esprit que la vision du compte dans sa globalité. Tout doit sembler bien clair et aller dans une seule et même direction. Exit donc les applications de recadrage comme Instasize. Les pros recommandent de coller au format d’Instagram, sans en changer. Toujours dans cette recherche d'unité, il est conseillé d'utiliser toujours les mêmes filtres. « Il faut une uniformité, mais le contenu peut être varié. Il faut simplement que tes chaussures ressortent de la même couleur que ta salade », explique au Figaro, Coralie et ses 36 400 abonnés.
Ainsi, le réseau social redouble d’innovations et de fonctionnalités pour devenir un as d’Instagram. La base ? Que les photos soient les plus réussies possibles. En utilisant par exemple, un max d’outils de retouche, des filtres, des contrastes, des effets de saturation et des jeux de lumière. En plus des applications propres à Instagram, d’autres existent, à l’image d’After light, VSCO CAM, Photoshop express… Dans tous les cas, il est important de maîtriser le principe de phonéographie. Derrière le nom savant, il s’agit tout simplement de prendre de très bonnes photos numériques avec un smartphone !
En dehors de l’esthétique, il s’agit aussi d’être assidu. Régulier en somme, pour éviter, l’effet retard unfollow, le désabonnement de ses abonnés ou le purgatoire d’Instagram ! Avoir une ligne éditoriale cohérente, de bonnes légendes, qui semble t-il, sont presque aussi importantes que les photos. Sans oublier la géolocalisation et les hashtags. Et plus ils sont nombreux, entre trois et dix, mieux c’est. Plus ils sont utilisés sur le réseau aussi, comme #love ou #paris. Aujourd’hui, on peut d’ailleurs connaître en temps réel les hashtags les plus populaires à l’instant où l'on se connecte. C’est le même principe que Twitter et ses top tweets. Dans tous les cas, il faut savoir doser, et ne pas surcharger ses abonnés avec une déferlante de posts. Trop de photos tuent la photo.