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Le chat a beau avoir la réputation d’être l’animal de compagnie le plus propre – parce qu’il passe des heures à faire sa toilette - il peut aussi favoriser des maladies chez ses propriétaires. « Vivre en compagnie d’un chat peut parfois avoir des conséquences néfastes pour la santé. Sans symptôme apparent, la majorité de ces félins est porteuse de la bactérie animale Bartonella henselae, transmissible à l’homme par les griffures, léchages, caresses et bisous. Elle peut entraîner, entre autres symptômes, des ganglions enflés, migraines, épisodes de fièvre et sensations de fatigue » avance 20 Minutes en s’appuyant sur étude publiée par des chercheurs américains dans la revue spécialisée CDC Emerging Infectuous Diseases.
Enfants particulièrement vulnérables
Les amoureux des chats doivent réaliser que ces animaux très indépendants ne sont pas toujours nichés sur les canapés propres mais ont aussi accès aux endroits les plus sales, à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison. Des lieux qui sont porteurs de bactéries ou de parasites qui s’installent sur les chats. Une situation inquiétante qui favorise de nombreuses maladies liées au manque d’hygiène mais pas uniquement.
D’après les chercheurs, rien qu’aux Etats-Unis, 12 500 personnes sont atteintes chaque année de la maladie « des griffes de chat ». Pathologie qui touche particulièrement les enfants de cinq à dix ans qui sont le plus au contact des chats. « Une pathologie à prendre au sérieux, insiste l’étude, puisqu’elle peut notamment « être particulièrement grave pour les patients immuno-déprimés ». La maladie des griffes du chat peut notamment provoquer chez l’homme de sérieux dommages au cerveau, voire une endocardite infectieuse potentiellement mortelle. Des mesures simples comme se laver les mains fréquemment permettent de limiter les risques d’infection humaine » continue le journal gratuit.
D’après les chercheurs, rien qu’aux Etats-Unis, 12 500 personnes sont atteintes chaque année de la maladie « des griffes de chat ». Pathologie qui touche particulièrement les enfants de cinq à dix ans qui sont le plus au contact des chats. « Une pathologie à prendre au sérieux, insiste l’étude, puisqu’elle peut notamment « être particulièrement grave pour les patients immuno-déprimés ». La maladie des griffes du chat peut notamment provoquer chez l’homme de sérieux dommages au cerveau, voire une endocardite infectieuse potentiellement mortelle. Des mesures simples comme se laver les mains fréquemment permettent de limiter les risques d’infection humaine » continue le journal gratuit.