Creative Commons - Pixabay
« Toujours plus de végétal, de plantes, de légumineuses et de super-graines, moins de viande, mais meilleure: le salon international de l'alimentation SIAL qui ouvre ses portes dimanche au nord de Paris va redessiner jusqu'à jeudi les frontières de la planète alimentaire » résume La Croix. A l’occasion de l’ouverture du salon de l’alimentation, le quotidien montre que les tendances de l’alimentation évoluent et permettent d’anticiper ce que va devenir la filière dans les prochaines années.
Après des décennies de montée en puissance de l’industrialisation et de la grande distribution, la situation évolue doucement. La norme reste toujours collée à ses grands modes de fonctionnement et à la guerre des prix toujours plus bas aux dépends de la qualité, mais les contre-exemples se multiplient tout de même. « Face aux polémiques et scandales qui secouent régulièrement le secteur de l'alimentation en France sur fond de prise de conscience du réchauffement climatique, les organisateurs encapsulent les souhaits des consommateurs en trois mots : "du goût, du vrai, du sens", sur la base d'une vaste étude réalisée dans une quinzaine de pays-clés par Kantar TNS » lit-on plus loin dans le même article.
Si ces observations reposent sur des faits, il ne faut pas non plus surinterpréter ce qui transparait du salon. Parmi les 400 000 produits présentés, aucun ne provient des géants mondiaux que sont Danone ou Nestlé par exemple. Parler des tendances de l’alimentation sans les inclure est donc à prendre avec pincettes. Non le véritable signe de ces tendances est à aller chercher dans les supermarchés plutôt que dans les petites boutiques des centres-villes. Et de fait, les produits de bonne qualité ou qui mettent en avant leur origine biologique ou la cause animale apparaissent dans les gondoles généralistes. De là à dire qu’ils sont la norme, il y a un pas que nous ne franchirons pas.
Après des décennies de montée en puissance de l’industrialisation et de la grande distribution, la situation évolue doucement. La norme reste toujours collée à ses grands modes de fonctionnement et à la guerre des prix toujours plus bas aux dépends de la qualité, mais les contre-exemples se multiplient tout de même. « Face aux polémiques et scandales qui secouent régulièrement le secteur de l'alimentation en France sur fond de prise de conscience du réchauffement climatique, les organisateurs encapsulent les souhaits des consommateurs en trois mots : "du goût, du vrai, du sens", sur la base d'une vaste étude réalisée dans une quinzaine de pays-clés par Kantar TNS » lit-on plus loin dans le même article.
Si ces observations reposent sur des faits, il ne faut pas non plus surinterpréter ce qui transparait du salon. Parmi les 400 000 produits présentés, aucun ne provient des géants mondiaux que sont Danone ou Nestlé par exemple. Parler des tendances de l’alimentation sans les inclure est donc à prendre avec pincettes. Non le véritable signe de ces tendances est à aller chercher dans les supermarchés plutôt que dans les petites boutiques des centres-villes. Et de fait, les produits de bonne qualité ou qui mettent en avant leur origine biologique ou la cause animale apparaissent dans les gondoles généralistes. De là à dire qu’ils sont la norme, il y a un pas que nous ne franchirons pas.