ILD
Beaucoup de personnes interrogées disent qu’elles souhaitent changer de métier. « Alors que l'on a tendance à considérer que les Français sont casaniers et rétifs au changement, une étude tend à prouver le contraire. En effet, selon un sondage réalisé par la société de conseil AEF : 64 % des Français souhaitent engager une reconversion professionnelle. Et cela concerne même les jeunes, puisque les moins de 30 ans sont même 69 % à vouloir changer » remarque Europe 1.
La plupart des personnes interrogées avancent qu’elles souhaitent changer avant tout pour faire quelque chose de plus épanouissant et non pas mieux gagner leur vie. L’adéquation entre l’activité professionnelles et les valeurs ou principes importants est souvent mise en avant par les personnes interrogées. Et quand on leur demande pourquoi ils ne sautent pas le pas, la plupart répondent que c’est trop compliqué. La peur de l’incertitude et les conséquences éventuelles d’une reconversion ratée pèsent lourdement dans la balance. « Or, faciliter cette reconversion professionnelle est tout l'enjeu de la réforme de la formation professionnelle que l'exécutif veut mettre en branle. On l'a dit, ce qui bloque, c'est la complexité. Donc, il faut simplifier les sigles et intermédiaires de cet univers de la formation : les OPCA ou les fongecifs qui vous proposent des Cif et autres CPF. Il faut également ne pas attendre d'être licencié pour pouvoir engager une reconversion professionnelle, mais sensibiliser les salariés, en amont, quand ils sont en emplois. Enfin, il faut informer davantage sur les secteurs, les métiers d'avenir, et ne pas se lancer dans des métiers en voie de disparition » abonde Europe 1. Sans faciliter l’adaptation des travailleurs et les outils pour les aider, les envies de changement ne seront finalement que des doux rêves de travailleurs qui s’ennuie au boulot.
La plupart des personnes interrogées avancent qu’elles souhaitent changer avant tout pour faire quelque chose de plus épanouissant et non pas mieux gagner leur vie. L’adéquation entre l’activité professionnelles et les valeurs ou principes importants est souvent mise en avant par les personnes interrogées. Et quand on leur demande pourquoi ils ne sautent pas le pas, la plupart répondent que c’est trop compliqué. La peur de l’incertitude et les conséquences éventuelles d’une reconversion ratée pèsent lourdement dans la balance. « Or, faciliter cette reconversion professionnelle est tout l'enjeu de la réforme de la formation professionnelle que l'exécutif veut mettre en branle. On l'a dit, ce qui bloque, c'est la complexité. Donc, il faut simplifier les sigles et intermédiaires de cet univers de la formation : les OPCA ou les fongecifs qui vous proposent des Cif et autres CPF. Il faut également ne pas attendre d'être licencié pour pouvoir engager une reconversion professionnelle, mais sensibiliser les salariés, en amont, quand ils sont en emplois. Enfin, il faut informer davantage sur les secteurs, les métiers d'avenir, et ne pas se lancer dans des métiers en voie de disparition » abonde Europe 1. Sans faciliter l’adaptation des travailleurs et les outils pour les aider, les envies de changement ne seront finalement que des doux rêves de travailleurs qui s’ennuie au boulot.