À la traîne Google+ ? Il semblerait. Le réseau social lancé par Google en 2011, afin de concurrencer Facebook ou Twitter, a du mal à s’imposer. Résultat, pour le relancer, chantiers et « entreprises de transformation » selon Le Figaro, se succèdent. Pour l’heure, le rendez-vous avec son public reste aléatoire. Pour que cela devienne un mauvais souvenir, les initiatives de Google redoublent. Comme celle annoncée la semaine dernière, de relancer le réseau social « sous une nouvelle forme », toujours selon Le Figaro. Il s’agit en effet de « redynamiser » le réseau, de façon à ce qu’il trouve enfin son public.
Pour ce faire, le géant de l’Internet Google va privilégier deux priorités qui existent déjà : « les communautés et les collections », explique au Figaro, la directrice des flux chez Google, Eddie Kessler. Ces deux points sont particulièrement appréciés des internautes. Le premier, les communautés, date de 2012. L’objectif est de regrouper les utilisateurs autour d’un ou de plusieurs intérêts communs. Le principe est celui de Facebook avec ses groupes. Quant aux collections, lancées cette année, il s’agit, pour les utilisateurs de « regrouper et classer leurs publications par thème », selon Le Figaro.
Dans tous les cas, l’important pour le réseau social Google+, est de mettre en avant, les intérêts de ses membres. Y compris de centraliser différentes fonctions comme Google+ Photos qui avait finalement été intégrée dans une application distincte, Google Photos. Résultat, Google+ est aujourd’hui, loin de concurrencer Facebook ou Twitter. C’est davantage, explique Le Figaro, « une simple surcouche sociale qui permet de relier tous les services de la société », comme Gmail, Maps ou encore YouTube. Mais pour contrecarrer Facebook, le chantier est donc titanesque. Et en premier lieu, il va falloir attirer des utilisateurs actifs qui posteront sur Google+ et non plus sur Facebook.
Pour ce faire, le géant de l’Internet Google va privilégier deux priorités qui existent déjà : « les communautés et les collections », explique au Figaro, la directrice des flux chez Google, Eddie Kessler. Ces deux points sont particulièrement appréciés des internautes. Le premier, les communautés, date de 2012. L’objectif est de regrouper les utilisateurs autour d’un ou de plusieurs intérêts communs. Le principe est celui de Facebook avec ses groupes. Quant aux collections, lancées cette année, il s’agit, pour les utilisateurs de « regrouper et classer leurs publications par thème », selon Le Figaro.
Dans tous les cas, l’important pour le réseau social Google+, est de mettre en avant, les intérêts de ses membres. Y compris de centraliser différentes fonctions comme Google+ Photos qui avait finalement été intégrée dans une application distincte, Google Photos. Résultat, Google+ est aujourd’hui, loin de concurrencer Facebook ou Twitter. C’est davantage, explique Le Figaro, « une simple surcouche sociale qui permet de relier tous les services de la société », comme Gmail, Maps ou encore YouTube. Mais pour contrecarrer Facebook, le chantier est donc titanesque. Et en premier lieu, il va falloir attirer des utilisateurs actifs qui posteront sur Google+ et non plus sur Facebook.