TOG, c’est quoi ? C’est la plateforme créatrice que vient de lancer Philippe Starck, designer français que l’on ne présente plus, et qui surfe sur cette mouvance du design démocratique. Oui, mais le design démocratique, c’est quoi ? Pour simplifier, c’est le fait de le rendre accessible au plus grand monde possible. Et c’est le rôle de TOG, cette plateforme créative communautaire. À travers ce label italo-brésilien, Philippe Stark espère bien faire passer sa vision de citoyen du monde, rebelle, et mettre en avant, des produits « bons », avant d’être beaux.
Pour résumer, TOG est : « collaboratif, libre, diagonal, théorique, pratique, joyeux, impertinent, respectueux, créateur, open source, individualiste, collectif, intemporel, futuriste, productif, communicatif, industriel, humain, technologique, artisanal, éclaireur, interactif. » Bref, « complètement TOG », et on n'a pas fini d'en entendre parler.
Surtout, ce qu’il faut retenir en premier lieu, est le côté collaboratif de la démarche et du concept, une valeur phare. C'est l'aspect participatif qui frappe. Et nous y voilà, dans cette plateforme créative communautaire, l’important est de partager, « les ressources, les idées », explique Philippe Starck, au journal Libération.
En gros, TOG, au delà du concept, c’est un moyen de sélectionner un modèle de meuble « nu » sur Internet, puis de le customiser à sa guise. TOG, c’est comme un jeu de Lego grandeur nature : on module comme on le souhaite, des bases de meubles, des couleurs, des assises, des piétements, des revêtements, pour en créer un qui pour le coup, devient unique. Et voilà, ni vu, ni connu, un beau matin on est livré. Le prix reste le même en fonction des options. C’est là, où l’idée de design démocratique prend tout son sens.
Avec l’application pour iPhone, TOG va prendre de la force et de l’ampleur, se décliner à toutes vitesse, puisque tout le monde peut intervenir, ajouter sa touche, sa patte. En cliquant, on est mis en contact avec un customizer référencé sur le site, un artisan ou un créateur : ensemble vous imaginez le meuble tel que vous le rêvez. Comme le dit Philippe Starck, « c’est d’abord une philosophie, un état politique. » Pure société open source, TOG a plus d’un tour dans son sac. Au-delà du design, ce sera sans doute, la façon de faire de demain.
Pour résumer, TOG est : « collaboratif, libre, diagonal, théorique, pratique, joyeux, impertinent, respectueux, créateur, open source, individualiste, collectif, intemporel, futuriste, productif, communicatif, industriel, humain, technologique, artisanal, éclaireur, interactif. » Bref, « complètement TOG », et on n'a pas fini d'en entendre parler.
Surtout, ce qu’il faut retenir en premier lieu, est le côté collaboratif de la démarche et du concept, une valeur phare. C'est l'aspect participatif qui frappe. Et nous y voilà, dans cette plateforme créative communautaire, l’important est de partager, « les ressources, les idées », explique Philippe Starck, au journal Libération.
En gros, TOG, au delà du concept, c’est un moyen de sélectionner un modèle de meuble « nu » sur Internet, puis de le customiser à sa guise. TOG, c’est comme un jeu de Lego grandeur nature : on module comme on le souhaite, des bases de meubles, des couleurs, des assises, des piétements, des revêtements, pour en créer un qui pour le coup, devient unique. Et voilà, ni vu, ni connu, un beau matin on est livré. Le prix reste le même en fonction des options. C’est là, où l’idée de design démocratique prend tout son sens.
Avec l’application pour iPhone, TOG va prendre de la force et de l’ampleur, se décliner à toutes vitesse, puisque tout le monde peut intervenir, ajouter sa touche, sa patte. En cliquant, on est mis en contact avec un customizer référencé sur le site, un artisan ou un créateur : ensemble vous imaginez le meuble tel que vous le rêvez. Comme le dit Philippe Starck, « c’est d’abord une philosophie, un état politique. » Pure société open source, TOG a plus d’un tour dans son sac. Au-delà du design, ce sera sans doute, la façon de faire de demain.