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Le passe sanitaire a garantie leur réouverture mais fait chuter la fréquentation. A par une petite poignée de films qui sont parvenus à tirer leur épingle du jeu dans un contexte tendu, c’est vraiment au ralenti que le secteur du cinéma a entamé cette nouvelle année scolaire. Mais cette semaine, un rebond permet d’y croire à nouveau. « En effet, deux films français, Illusions perdues de Xavier Giannoli et Eiffel de Martin Bourboulon, se sont glissés, le week-end dernier, dans le peloton de tête des entrées, juste derrière deux poids lourds anglo-saxons, Venom: Let The Be the Carnage (541 032 entrées) et le James Bond, Mourir peut attendre (419 782 entrées pour un cumul de 2 582 835). Même si ces chiffres sont encore modestes par rapport à la fréquentation enregistrée avant la pandémie, ils annoncent une reprise bienvenue » note Le Point.
Et le magazine de sous-entendre avec optimisme que le covid a pu, dans ce domaine comme d’autre, être avant tout une mauvaise parenthèse dont on attend encore la fermeture : « En adaptant avec virtuosité Illusions perdues, le chef-d’œuvre de la Comédie humaine de Balzac, Xavier Giannoli signe une peinture féroce de la presse et du pouvoir dans les années 1820, servie par des jeunes comédiens pleins d’énergie et d’ambition, Lucien de Rubempré joué par Benjamin Voisin et le journaliste Lousteau incarné avec brio par Vincent Lacoste. Malgré sa longueur (2 h 30) qui passe ici à toute vitesse mais limite le nombre de séances quotidiennes, cette fresque historique a franchi le cap des 220 000 entrées en une semaine, prouvant que le public n’a pas perdu le goût du cinéma quand on lui propose des films d’envergure ».
Le ministère de la Culture a publié cette semaine un sondage qui montre que le lieux culturels n’ont pas été pris d’assaut même par les vaccinés en raison de craintes de contamination. Il y a donc un véritable enjeu dans les prochains mois à voir si le public reprend ses bonnes habitudes.
Et le magazine de sous-entendre avec optimisme que le covid a pu, dans ce domaine comme d’autre, être avant tout une mauvaise parenthèse dont on attend encore la fermeture : « En adaptant avec virtuosité Illusions perdues, le chef-d’œuvre de la Comédie humaine de Balzac, Xavier Giannoli signe une peinture féroce de la presse et du pouvoir dans les années 1820, servie par des jeunes comédiens pleins d’énergie et d’ambition, Lucien de Rubempré joué par Benjamin Voisin et le journaliste Lousteau incarné avec brio par Vincent Lacoste. Malgré sa longueur (2 h 30) qui passe ici à toute vitesse mais limite le nombre de séances quotidiennes, cette fresque historique a franchi le cap des 220 000 entrées en une semaine, prouvant que le public n’a pas perdu le goût du cinéma quand on lui propose des films d’envergure ».
Le ministère de la Culture a publié cette semaine un sondage qui montre que le lieux culturels n’ont pas été pris d’assaut même par les vaccinés en raison de craintes de contamination. Il y a donc un véritable enjeu dans les prochains mois à voir si le public reprend ses bonnes habitudes.