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Mach 5 pour le grand public. « Au Bourget, la startup suisse Destinus affiche ses ambitions pour des avions hypersoniques. Ces aéronefs propulsés à l’hydrogène doivent permettre de rallier Paris à New-York en 1h30. Réaliser un vol Paris-New York aussi rapidement qu’un Paris-Venise. C’est la promesse de Destinus. Présente au salon aéronautique du Bourget, cette startup suisse qui dispose d’une base à Rochefort (Charente-Maritime) veut lancer un avion hypersonique propulsé à l’hydrogène », rapporte BFM qui a repéré la startup lors de l’événement et publie un article complet sur la technologie.
Depuis la fin du Concorde, ses prouesses puis sa disparition brutale, le secteur attend toujours qu’un projet promette une grande avancée dans la rapidité de trajets même si les obstacles restent nombreux avant d’envisager un accès au grand public.
Les dirigeants de l’entreprise affirment viser une mise en service en 2031 ou 2032. Quasi une décennie donc pour franchir les obstacles technologiques et réglementaires d’un tel projet. « Pour les vols commerciaux, Destinus envisage deux gammes d’aéronefs. Un avion avec peu de places pour une clientèle aisée avec des billets aller-retour qui pourraient atteindre le prix d’une classe business. Et dans un second temps, un autre appareil plus démocratique pourrait embarquer jusqu’à 350 passagers. La plateforme peut aussi permettre de faire du fret l’un des axes de développement déjà envisagé par Jean-Philippe Girault. Voire même du militaire si les besoins se font sentir, explique-t-il. Du côté des financements, Destinus a déjà levé près de 40 millions d’euros, précise L’Usine Nouvelle. 10 millions d’euros ont aussi été alloués par l’Europe. La startup ne donne pas plus de détails sur le budget global de cette toute nouvelle technologie. Ni d’ailleurs sur un éventuel lieu de production », conclue BFM.
Lire ici en intégralité l’article sur le site BFMTV
Depuis la fin du Concorde, ses prouesses puis sa disparition brutale, le secteur attend toujours qu’un projet promette une grande avancée dans la rapidité de trajets même si les obstacles restent nombreux avant d’envisager un accès au grand public.
Les dirigeants de l’entreprise affirment viser une mise en service en 2031 ou 2032. Quasi une décennie donc pour franchir les obstacles technologiques et réglementaires d’un tel projet. « Pour les vols commerciaux, Destinus envisage deux gammes d’aéronefs. Un avion avec peu de places pour une clientèle aisée avec des billets aller-retour qui pourraient atteindre le prix d’une classe business. Et dans un second temps, un autre appareil plus démocratique pourrait embarquer jusqu’à 350 passagers. La plateforme peut aussi permettre de faire du fret l’un des axes de développement déjà envisagé par Jean-Philippe Girault. Voire même du militaire si les besoins se font sentir, explique-t-il. Du côté des financements, Destinus a déjà levé près de 40 millions d’euros, précise L’Usine Nouvelle. 10 millions d’euros ont aussi été alloués par l’Europe. La startup ne donne pas plus de détails sur le budget global de cette toute nouvelle technologie. Ni d’ailleurs sur un éventuel lieu de production », conclue BFM.
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