C’est une activité dont on se passerait bien. Et pourtant, peu de gens y coupent. En vieillissant, c’est encore pire. Qui ne court pas au moins une fois par jour ou par semaine après ses clés, une télécommande, son mobile ou son parapluie ? Les lunettes étant souvent l’objet le plus retors : on ne peut pas les faire sonner pour les trouver.
Au-delà de l’anecdote, crispante, ce sont bel et bien deux mois de nos vies que nous perdons à chercher ces satanés objets. C’est l’Ipsos qui le dit. Le 18 mars dernier, l’institut de sondage a publié les résultats d’une enquête menée auprès de 1 000 internautes. 86% déclarent se livrer à cette activité peu épanouissante.
Deux mois dans une vie. Un millier d’heures. Deux heures trente par mois… Ça va vite. Pas étonnant donc que les fabricants d’objets connectés soient sur le qui vive. C’est d’ailleurs la société Wistiki qui a commandé ce sondage à l’Ipsos. Elle fabrique un genre de patchs intelligents à apposer sur les objets qui disparaissent le plus. Ils servent à les géolocaliser via un smartphone. Encore faut-il avoir ce dernier sous la main !
Au-delà de la perte de temps et de l'énervement engendré par cette activité absurde, elle génère également pas mal d’anxiété. 53% des personnes interrogées s'en disent victimes, notamment les femmes. Inévitablement, chercher un objet renvoie à la peur d’être en retard et déclenche des tensions dans les couples. Le Top 3 des objets les plus pernicieux : les clés, les portables et les vêtements. En tête, gants, bonnets et écharpe. La chaussette dépareillée n'est pas mal non plus. On ne vous apprend rien, si ?
Au-delà de l’anecdote, crispante, ce sont bel et bien deux mois de nos vies que nous perdons à chercher ces satanés objets. C’est l’Ipsos qui le dit. Le 18 mars dernier, l’institut de sondage a publié les résultats d’une enquête menée auprès de 1 000 internautes. 86% déclarent se livrer à cette activité peu épanouissante.
Deux mois dans une vie. Un millier d’heures. Deux heures trente par mois… Ça va vite. Pas étonnant donc que les fabricants d’objets connectés soient sur le qui vive. C’est d’ailleurs la société Wistiki qui a commandé ce sondage à l’Ipsos. Elle fabrique un genre de patchs intelligents à apposer sur les objets qui disparaissent le plus. Ils servent à les géolocaliser via un smartphone. Encore faut-il avoir ce dernier sous la main !
Au-delà de la perte de temps et de l'énervement engendré par cette activité absurde, elle génère également pas mal d’anxiété. 53% des personnes interrogées s'en disent victimes, notamment les femmes. Inévitablement, chercher un objet renvoie à la peur d’être en retard et déclenche des tensions dans les couples. Le Top 3 des objets les plus pernicieux : les clés, les portables et les vêtements. En tête, gants, bonnets et écharpe. La chaussette dépareillée n'est pas mal non plus. On ne vous apprend rien, si ?