Source : Pixabay, image libre de droits.
« Il est né début novembre et ses parents ont décidé de l'appeler Mohamed, Nizar. Problème : leur nom de famille est Merah. Inconscience ou provocation ? », s’interroge un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP.
L'article ajoute que « la mairie de Nice a tranché : elle a annoncé vendredi qu'elle avait saisi la justice pour faire modifier l'état-civil de l'enfant. Mohammed (avec deux "m") Merah a tué sept personnes en mars 2012 : un militaire à Toulouse, puis deux parachutistes à Montauban, et trois enfants et un adulte dans une école juive toulousaine. Il a été abattu le 22 mars par la police dans l'appartement toulousain où il s'était retranché. »
L'article ajoute que « la mairie de Nice a tranché : elle a annoncé vendredi qu'elle avait saisi la justice pour faire modifier l'état-civil de l'enfant. Mohammed (avec deux "m") Merah a tué sept personnes en mars 2012 : un militaire à Toulouse, puis deux parachutistes à Montauban, et trois enfants et un adulte dans une école juive toulousaine. Il a été abattu le 22 mars par la police dans l'appartement toulousain où il s'était retranché. »
Un prénom « contraire à l’intérêt de l’enfant »
La municipalité a estimé que « ce choix des parents de donner à leur fils les prénoms Mohamed et Nizar "pouvait être contraire à l'intérêt de l'enfant" et assimilé à une apologie du terrorisme. »
Christian Estrosi, premier adjoint et président de la Métropole Nice Côte d'Azur, assuré dans un communiqué : « Alors que notre ville a été touchée de plein fouet par un attentat cet été et que ses habitants sont encore meurtris, il est inadmissible de constater de tels agissements. C'est pour cette raison que nous avons alerté le procureur afin qu'il prenne les mesures adéquates pour faire modifier cet acte de naissance dont le contenu porte atteinte à notre République. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Christian Estrosi, premier adjoint et président de la Métropole Nice Côte d'Azur, assuré dans un communiqué : « Alors que notre ville a été touchée de plein fouet par un attentat cet été et que ses habitants sont encore meurtris, il est inadmissible de constater de tels agissements. C'est pour cette raison que nous avons alerté le procureur afin qu'il prenne les mesures adéquates pour faire modifier cet acte de naissance dont le contenu porte atteinte à notre République. »
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