De gauche à droite, Burberry, Pucci, Jacquemus, Gucci
Beurre frais, safrané, pop ou carrément électrique, le jaune s'incruste. Après l'été, voilà une façon inattendue d’illuminer l’hiver. S’il y a plus facile à porter quand on fait grise mine, pourquoi ne pas oser et jouer cette carte « happy » ? Le jaune, une des couleurs phares de la saison, avec le kaki, claque. Chez Burberry, chez les italiens Gucci et Pucci, ou chez le français Jacquemus sous forme de sweat rigide en néoprène, il cartonne. Il s’affranchit de son dérivé moutarde, carrément Cluedo pour s’imposer, plus franc et plus solaire, inspiré des codes du sport.
Le jaune, c’est enfoncer des portes ouvertes, mais c’est la couleur de la gaité et de la légèreté, du soleil, des smileys, de l’optimisme et surtout, de l’énergie. Résultat, il représente une option intéressante pour passer à travers la grisaille de l’automne et de l’hiver. Parfois aussi, il dérive, plus acide vers l’anisette, comme chez Kenzo ou chez Bottega Veneta.
Dans tous les cas, il relève les « nouveaux noirs » : le bleu marine, le violet ou le gris. Mieux vaut en effet le marier à des neutres ou à des coloris foncés. Le porter de la tête aux pieds peut s'avérer aléatoire. À la fois, rien empêche de l'associer avec un rose gourmand comme chez Gucci. Ça vibre. Si on n’ose pas le total-look, un peu casse-gueule dans le genre Télétubbies, préférer des accessoires comme le manchon Céline ou le porter en touche, en aplat, en plastron. Si on n'a pas froid aux yeux, opter pour une grosse pièce comme un manteau, vu chez DKNY ou Caroll. Frais, moderne, le jaune est capable de réveiller bien des silhouettes, de booster des tons plus dilués, des prunes, des beiges. On s'y met, il n'y a pas de péril jaune.
Le jaune, c’est enfoncer des portes ouvertes, mais c’est la couleur de la gaité et de la légèreté, du soleil, des smileys, de l’optimisme et surtout, de l’énergie. Résultat, il représente une option intéressante pour passer à travers la grisaille de l’automne et de l’hiver. Parfois aussi, il dérive, plus acide vers l’anisette, comme chez Kenzo ou chez Bottega Veneta.
Dans tous les cas, il relève les « nouveaux noirs » : le bleu marine, le violet ou le gris. Mieux vaut en effet le marier à des neutres ou à des coloris foncés. Le porter de la tête aux pieds peut s'avérer aléatoire. À la fois, rien empêche de l'associer avec un rose gourmand comme chez Gucci. Ça vibre. Si on n’ose pas le total-look, un peu casse-gueule dans le genre Télétubbies, préférer des accessoires comme le manchon Céline ou le porter en touche, en aplat, en plastron. Si on n'a pas froid aux yeux, opter pour une grosse pièce comme un manteau, vu chez DKNY ou Caroll. Frais, moderne, le jaune est capable de réveiller bien des silhouettes, de booster des tons plus dilués, des prunes, des beiges. On s'y met, il n'y a pas de péril jaune.