Source : Pixabay, image libre de droits.
« J'ai peur pour ma vie, je crains qu'un jour mon coeur s'arrête », a-t-elle affirmé dans l'émission « This morning », selon un article en ligne du journal Le Parisien.
Elle ajoute : « Ma vie est devenue un cauchemar (...) Je suis en train de dépérir et je ne sais pas pourquoi », réfutant ainsi les rumeurs sur une éventuelle anorexie. « Je ne m'inflige pas de souffrances à moi-même. Ce que je vis est horrible. »
Elle ajoute : « Ma vie est devenue un cauchemar (...) Je suis en train de dépérir et je ne sais pas pourquoi », réfutant ainsi les rumeurs sur une éventuelle anorexie. « Je ne m'inflige pas de souffrances à moi-même. Ce que je vis est horrible. »
Un « virus » inconnu ?
Marion Bartoli affirme ainsi qu’elle a « attrapé un virus », inconnus des, « en février après avoir enchaîné trois longs trajets en avion entre l'Australie, l'Inde et New York. »
« Au début, je pensais que c'était dû au décalage horaire. » Mais après deux autres voyages à Dallas et Miami, la joueuse « s'est sentie de plus en plus mal » : « Mon corps refusait de plus en plus de choses. Je ne peux plus pianoter sur les touches de mon téléphone portable sans utiliser de gants. »
Elle cite les nombreux risques de tachycardie, explique qu’elle se lave désormais à l’eau minérale, ne mange que des légumes bio : « J'en suis réduite à manger des salades et des concombres sans la peau parce que mon corps ne la supporte pas. Ce sont des méthodes de survie. Je prie dieu tous les jours pour revenir à une vie normale. »
Lire l’intégralité de l’article du Parisien ici.
« Au début, je pensais que c'était dû au décalage horaire. » Mais après deux autres voyages à Dallas et Miami, la joueuse « s'est sentie de plus en plus mal » : « Mon corps refusait de plus en plus de choses. Je ne peux plus pianoter sur les touches de mon téléphone portable sans utiliser de gants. »
Elle cite les nombreux risques de tachycardie, explique qu’elle se lave désormais à l’eau minérale, ne mange que des légumes bio : « J'en suis réduite à manger des salades et des concombres sans la peau parce que mon corps ne la supporte pas. Ce sont des méthodes de survie. Je prie dieu tous les jours pour revenir à une vie normale. »
Lire l’intégralité de l’article du Parisien ici.