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Il y aura une cinquième élection législative en moins de quatre ans en Israël. Les parlementaires du pays ont voté sans chicaner la dissolution de la Knesset en première lecture mardi 28 juin. « Peu après minuit, un comité de la Knesset avait annoncé avoir terminé ses travaux et avoir adopté à « l’unanimité » ce projet de loi, qui a été voté avec le soutien de cinquante-trois élus, sans opposition ni abstention. Les 120 députés doivent adopter en trois lectures ce projet de loi. Or, le comité parlementaire, qui regroupe des membres de l’opposition et de la coalition encore au pouvoir, a fait état dans la nuit de lundi à mardi d’une entente afin de boucler ces trois votes d’ici à mercredi 23 h 59 » rapporte l’Agence France presse.
Les prochaines législatives pourraient avoir lieu soit le 25 octobre soit le 1er novembre. « En vertu d’un accord de partage du pouvoir entre M. Bennett et l’actuel chef de la diplomatie, Yaïr Lapid, ce dernier sera premier ministre après la dissolution du Parlement et, ce, jusqu’à la formation du prochain gouvernement. MM. Bennett et Lapid avaient réuni, en juin 2021, une coalition unique dans l’histoire d’Israël comprenant des partis de droite, du centre, de gauche et, pour la première fois, une formation arabe, afin de mettre un terme à douze ans sans discontinuer de règne de Benyamin Nétanyahou à la tête du gouvernement » expplique l’agence de presse.
La Knesset devait être dissoute après que l’opposition est parvenue à bloquer un projet de loi concernant les colons israéliens de Cisjordanie. « Cette loi devait être renouvelée d’ici au 30 juin sans quoi les colons installés en Cisjordanie (territoire palestinien occupé depuis 1967) risquaient de perdre leur protection légale en vertu du droit israélien. En cas de dissolution du Parlement, cette législation est automatiquement prorogée » conclue l’AFP. Montrant les limites des coalitions politiciennes et laisser planer la possibilité d’un renversement des équilibres politiques à l’automne prochain.
Les prochaines législatives pourraient avoir lieu soit le 25 octobre soit le 1er novembre. « En vertu d’un accord de partage du pouvoir entre M. Bennett et l’actuel chef de la diplomatie, Yaïr Lapid, ce dernier sera premier ministre après la dissolution du Parlement et, ce, jusqu’à la formation du prochain gouvernement. MM. Bennett et Lapid avaient réuni, en juin 2021, une coalition unique dans l’histoire d’Israël comprenant des partis de droite, du centre, de gauche et, pour la première fois, une formation arabe, afin de mettre un terme à douze ans sans discontinuer de règne de Benyamin Nétanyahou à la tête du gouvernement » expplique l’agence de presse.
La Knesset devait être dissoute après que l’opposition est parvenue à bloquer un projet de loi concernant les colons israéliens de Cisjordanie. « Cette loi devait être renouvelée d’ici au 30 juin sans quoi les colons installés en Cisjordanie (territoire palestinien occupé depuis 1967) risquaient de perdre leur protection légale en vertu du droit israélien. En cas de dissolution du Parlement, cette législation est automatiquement prorogée » conclue l’AFP. Montrant les limites des coalitions politiciennes et laisser planer la possibilité d’un renversement des équilibres politiques à l’automne prochain.