Horia, EmmaCakeCup, Jenesuispasjolie, Sananas… Les nouvelles stars ce sont elles. Elles, les YouTubeuses mode et beauté, voire lifestyle. Et dans leur sillon, des milliers de fans et « ados surexcitées. » Ainsi, rapporte Le Monde, « dix mille ados se sont pressées au premier événement consacré aux jeunes filles les plus populaires du site de vidéos en ligne. Un nouveau star-system qui dépasse le Web. »
Cela se passait samedi dernier, au Parc Floral de Paris. Le premier salon français dédié à ses YouTubeuses mode et beauté qui enflamment le Web et rendent hystériques les ados. Une première donc. Et dans le même temps, un franc succès : 10 000 adolescentes ont en effet déboulé au salon Get Beauty pour voir ces « véritables professionnelles ».
Une partie d’entre elles gagne effectivement leur vie grâce à leurs vidéos. Et pour cela, « c’est beaucoup de travail, elles sont metteur en scène, monteurs, cadreurs, elles gèrent la lumière, le choix des produits, le community management. Ce sont des autodidactes qui ont développé de vraies expertises », explique Virginie Maire, l’organisatrice du salon.
« C’est un rêve qui se réalise, j’ai envie de pleurer mais je me retiens », déclare Annahita, 11 ans, à la journaliste du Monde. Peu importe s’il a fallu des heures d’attentes pour prendre un selfie avec Horia, une star du genre, et lui faire un hug. C’est en effet « l’interaction et le contact physique, impossibles derrière la barrière de l’écran, que sont venues chercher ces milliers de jeunes filles », explique Morgan Tual, la journaliste du Monde.
Au delà du côté Bisounours, c’est un vrai business. Et une mère de famille, de reprocher, à juste titre : « on est en train de former les consommatrices de demain, on explique aux fillettes qu’il faut se maquiller… Et elles sont de plus en plus jeunes, je trouve ça effrayant de voir des enfants de primaire ici. » Car évidemment, les marques flairent le filon. Selon Le Monde, elles « n’étaient pas si nombreuses pour cette première édition, (mais) semblent s’y intéresser de près pour la suite. » Selon Virginie Maire, « pour les marques, il ne s’agit pas tant de vendre sur le salon, que de faire vivre une expérience, de développer un affect. » Dans tous les cas, de quoi faire naître des vocations chez de nombreuses adolescentes.
Cela se passait samedi dernier, au Parc Floral de Paris. Le premier salon français dédié à ses YouTubeuses mode et beauté qui enflamment le Web et rendent hystériques les ados. Une première donc. Et dans le même temps, un franc succès : 10 000 adolescentes ont en effet déboulé au salon Get Beauty pour voir ces « véritables professionnelles ».
Une partie d’entre elles gagne effectivement leur vie grâce à leurs vidéos. Et pour cela, « c’est beaucoup de travail, elles sont metteur en scène, monteurs, cadreurs, elles gèrent la lumière, le choix des produits, le community management. Ce sont des autodidactes qui ont développé de vraies expertises », explique Virginie Maire, l’organisatrice du salon.
« C’est un rêve qui se réalise, j’ai envie de pleurer mais je me retiens », déclare Annahita, 11 ans, à la journaliste du Monde. Peu importe s’il a fallu des heures d’attentes pour prendre un selfie avec Horia, une star du genre, et lui faire un hug. C’est en effet « l’interaction et le contact physique, impossibles derrière la barrière de l’écran, que sont venues chercher ces milliers de jeunes filles », explique Morgan Tual, la journaliste du Monde.
Au delà du côté Bisounours, c’est un vrai business. Et une mère de famille, de reprocher, à juste titre : « on est en train de former les consommatrices de demain, on explique aux fillettes qu’il faut se maquiller… Et elles sont de plus en plus jeunes, je trouve ça effrayant de voir des enfants de primaire ici. » Car évidemment, les marques flairent le filon. Selon Le Monde, elles « n’étaient pas si nombreuses pour cette première édition, (mais) semblent s’y intéresser de près pour la suite. » Selon Virginie Maire, « pour les marques, il ne s’agit pas tant de vendre sur le salon, que de faire vivre une expérience, de développer un affect. » Dans tous les cas, de quoi faire naître des vocations chez de nombreuses adolescentes.