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La médiatisation autour de la maladie s’explique finalement par le fait que la maladie de Lyme était totalement inconnue du grand public il y a quelques années. Depuis les unes des magazines, les reportages en pagaille et les témoignages de personnes frappées de plein fouet par cette maladie participent à changer les choses. Entre 2009 et 2016, les diagnostics par les médecins généralistes ont augmenté en passant de 55 à 84 cas pour 100 000 habitants, selon le dernier numéro du bulletin épidémiologique hebdomadaire. Santé publique explique à cette occasion que plus de deux Français sur trois ont entendu parler de cette maladie et qu’une grande partie d’entre eux est au courant qu’il faut surveiller les érythèmes migrants en cas de morsure par une tique.
Entre 2009 et 2016, explique la publication scientifique « 819 cas ont été formellement identifiés. La majeure partie a été diagnostiquée entre mars et octobre, avec un pic en juillet. La piqûre d’une tique a été observée chez trois-quarts d’entre eux. En outre, un érythème migrant a été constaté chez 778 patients. Les 41 malades restants souffraient d’une forme plus avancée de l’infection et présentaient une manifestation cardiaque, cutanée, articulaire ou neurologique. Pour ces cas, l’infection a été confirmée par des tests de diagnostic visant à détecter des anticorps dirigés contre Borrelia, la bactérie responsable de la maladie de Lyme » résume Le Figaro .
Il apparait aussi assez logiquement de très importantes différences selon les régions, en fonction du climat et de la végétation. Le Limousin est le plus touché avec 617 cas pour 100 000 habitants, suivent l’Alsace ( 281) puis Rhône-Alpes (164). « Ces différences régionales sont retrouvées lorsque l’on analyse l’incidence hospitalière. En revanche, aucune augmentation n’est signalée en 2016. Depuis 2005, près de 9600 personnes ont été hospitalisées pour une borréliose de Lyme, soit 799 cas en moyenne chaque année » ajoute Le Figaro. Confirmant ainsi que la sensibilisation porte ses fruits avec plus de cas décelés précocement et une proportion d’hospitalisation en baisse.
Entre 2009 et 2016, explique la publication scientifique « 819 cas ont été formellement identifiés. La majeure partie a été diagnostiquée entre mars et octobre, avec un pic en juillet. La piqûre d’une tique a été observée chez trois-quarts d’entre eux. En outre, un érythème migrant a été constaté chez 778 patients. Les 41 malades restants souffraient d’une forme plus avancée de l’infection et présentaient une manifestation cardiaque, cutanée, articulaire ou neurologique. Pour ces cas, l’infection a été confirmée par des tests de diagnostic visant à détecter des anticorps dirigés contre Borrelia, la bactérie responsable de la maladie de Lyme » résume Le Figaro .
Il apparait aussi assez logiquement de très importantes différences selon les régions, en fonction du climat et de la végétation. Le Limousin est le plus touché avec 617 cas pour 100 000 habitants, suivent l’Alsace ( 281) puis Rhône-Alpes (164). « Ces différences régionales sont retrouvées lorsque l’on analyse l’incidence hospitalière. En revanche, aucune augmentation n’est signalée en 2016. Depuis 2005, près de 9600 personnes ont été hospitalisées pour une borréliose de Lyme, soit 799 cas en moyenne chaque année » ajoute Le Figaro. Confirmant ainsi que la sensibilisation porte ses fruits avec plus de cas décelés précocement et une proportion d’hospitalisation en baisse.