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La santé et le corps humain sont un ensemble harmonieux. A ce titre, les désordres quels qu’ils soient sont des signaux à prendre en compte. De ce point de vue, les femmes sont plus sensibles à ces questions avec comme signal quotidien la régularité des cycles menstruels. Une récente étude américano-chinoise souligne ainsi que des cycles irréguliers peuvent avoir une incidence sur la mortalité. « Un cycle menstruel régulier reflète le fonctionnement normal de l'axe hypothalamo-hypophyso-ovarien. Chez les femmes, c'est donc un marqueur clinique pour cerner l'état de santé général. Des cycles menstruels irréguliers ou qui durent trop longtemps peuvent être le signe d'un dérèglement de cet axe. Par le passé, un cycle menstruel perturbé a été associé à des maladies non transmissibles telles que le cancer de l'ovaire, les maladies coronariennes, le diabète de type 2, et les problèmes de santé mentale » rapporte Futura Sciences .
Une étude publiée dans le British Medical Journal et réalisée par des chercheurs de Harvard, du Michigan et du Huazhong explique ce lien par des désordres hormonaux ou des troubles métaboliques. « Les scientifiques ont récolté leurs données dans une cohorte composée uniquement d'infirmières « The Nurse Health Study II ». On peut déjà identifier un biais. L'étude ne concernera pas un échantillon représentatif de la population féminine américaine. Chez ces personnes donc, des informations ont été récoltées à propos de leur cycle menstruel entre 14 et 17 ans, puis entre 18 et 22 ans et enfin entre 29 et 46 ans. La mortalité prématurée, c'est-à-dire mourir avant 70 ans, augmente jusqu'à 73 % chez les femmes ayant des cycles irréguliers et anormalement espacés. La corrélation est d'autant plus forte pour les maladies cardiovasculaires et pour les femmes qui consomment du tabac » appuie le site spécialisé. Raison de plus pour les jeunes filles à consulter rapidement des professionnels pour faire le point sur les dérèglements de cycles et ainsi évacuer toutes les causes potentiellement sérieuses.
Une étude publiée dans le British Medical Journal et réalisée par des chercheurs de Harvard, du Michigan et du Huazhong explique ce lien par des désordres hormonaux ou des troubles métaboliques. « Les scientifiques ont récolté leurs données dans une cohorte composée uniquement d'infirmières « The Nurse Health Study II ». On peut déjà identifier un biais. L'étude ne concernera pas un échantillon représentatif de la population féminine américaine. Chez ces personnes donc, des informations ont été récoltées à propos de leur cycle menstruel entre 14 et 17 ans, puis entre 18 et 22 ans et enfin entre 29 et 46 ans. La mortalité prématurée, c'est-à-dire mourir avant 70 ans, augmente jusqu'à 73 % chez les femmes ayant des cycles irréguliers et anormalement espacés. La corrélation est d'autant plus forte pour les maladies cardiovasculaires et pour les femmes qui consomment du tabac » appuie le site spécialisé. Raison de plus pour les jeunes filles à consulter rapidement des professionnels pour faire le point sur les dérèglements de cycles et ainsi évacuer toutes les causes potentiellement sérieuses.