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« 51 départements de métropole sont désormais concernés par la présence du moustique tigre, vecteur de plusieurs maladies dont le chikungunya, la dengue et le zika. Selon un communiqué de la Direction générale de la Santé (DGS) du 26 avril, l’insecte s’est cette fois implanté à Paris, qui jusque-là avait été épargnée. Tout comme la Seine-Saint-Denis, la Seine-et-Marne et l’Essonne » commence un article du Huffington Post . A partir du 1er mai, le danger est accru et le autorités sanitaires ouvre la saison de vigilance qui coure jusqu’à fin novembre.
Sans que l’on cède à la panique à la moindre piqure de moustique, quelques petits conseils pratiques sont donnés par prudence. Moustiquaires dans les zones les pus touchées, produits répulsifs, habits longs sont ainsi proposés par le ministère de la Santé pour limiter les risques.
« Un dépliant mis à disposition par le ministère en 2012 spécialement conçu pour le moustique tigre recommande également d’utiliser des diffuseurs d’insecticides à l’extérieur, d’allumer la climatisation en intérieur si possible car les moustiques fuient les endroits frais, et de faire dormir les bébés sous une moustiquaire imprégnée » souligne Le Huffington Post.
Pour ce qui est de l’effort national pour limiter le développement, quelques petits gestes peuvent s’avérer utiles pour ne pas accentuer le développement des ces nuisibles. « À savoir, pour commencer, d’éliminer les endroits où l’eau peut stagner comme les petits détritus, les pneus usagés, les encombrants, les déchets verts, liste le gouvernement. Pensez aussi à changer l’eau des plantes et fleur une fois par semaine, voire, si possible, d’en supprimer les soucoupes et de remplacer l’eau par du sable humide. Tous les réservoirs d’eau tels que bidons d’eau, citernes ou bassins, doivent être recouverts avec un voile moustiquaire. Pour ceux qui ont une piscine, c’est pareil. Et pour ceux qui ont un jardin, idéalement il faut débroussailler et élaguer au maximum ainsi que ramasser les fruits tombés » appuie l’article du site d’infos.
Sans que l’on cède à la panique à la moindre piqure de moustique, quelques petits conseils pratiques sont donnés par prudence. Moustiquaires dans les zones les pus touchées, produits répulsifs, habits longs sont ainsi proposés par le ministère de la Santé pour limiter les risques.
« Un dépliant mis à disposition par le ministère en 2012 spécialement conçu pour le moustique tigre recommande également d’utiliser des diffuseurs d’insecticides à l’extérieur, d’allumer la climatisation en intérieur si possible car les moustiques fuient les endroits frais, et de faire dormir les bébés sous une moustiquaire imprégnée » souligne Le Huffington Post.
Pour ce qui est de l’effort national pour limiter le développement, quelques petits gestes peuvent s’avérer utiles pour ne pas accentuer le développement des ces nuisibles. « À savoir, pour commencer, d’éliminer les endroits où l’eau peut stagner comme les petits détritus, les pneus usagés, les encombrants, les déchets verts, liste le gouvernement. Pensez aussi à changer l’eau des plantes et fleur une fois par semaine, voire, si possible, d’en supprimer les soucoupes et de remplacer l’eau par du sable humide. Tous les réservoirs d’eau tels que bidons d’eau, citernes ou bassins, doivent être recouverts avec un voile moustiquaire. Pour ceux qui ont une piscine, c’est pareil. Et pour ceux qui ont un jardin, idéalement il faut débroussailler et élaguer au maximum ainsi que ramasser les fruits tombés » appuie l’article du site d’infos.