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Pour ceux du fond qui ne l’aurait pas encore compris, un nouvel événement vient le rappeler. Donald Trump met à exécution ses menaces. Par l’intermédiaire de l’ambassadrice américaine aux Nations Unies, le président américain l’a montré une fois de plus. Nikki Haley vient en effet d’annoncer que son pays quittait le Conseil des droits de l’homme de l’ONU. « Nous prenons cette mesure parce que notre engagement ne nous permet pas de continuer à faire partie d'une organisation hypocrite et servant ses propres intérêts, qui fait des droits de l'homme un sujet de moquerie » a-t-elle annoncé, fustigeant notamment les « partis pris politiques » du Conseil.
Elle a par ailleurs expliqué que la décision était motivée par le fait qu’aucun autre pays n’avait souhaité appuyer les Etats-Unis dans leur volonté de réformer cette instance. Haley a ensuite été plus claire sur les raisons de ce sa décision en affirmant que le Conseil des droits de l’homme « se focalise de manière excessive et entretient une hostilité sans fin à l'égard d'Israël ». Preuve selon elle que les intentions sont « politiques ».
Allant jusqu’à qualifier l’institution de « hypocrite et égoïste » il y a fort à parier que cette décision motivée par les critiques étayées des horreurs commises en Israël ne permette pas de pacifier la situation locale. Alors que l’ambassadrice a affirme que son pays continuerait à s’engager en faveur des droits de l’homme, c’est un pas de plus dans le désengagement des Etats-Unis dans les instances internationales. Après l’Unesco, l’Accord de Paris, l’Accord sur le nucléaire et la en question des financements, Wahsington pèse de moins en moins dans le concert des Nations.
Elle a par ailleurs expliqué que la décision était motivée par le fait qu’aucun autre pays n’avait souhaité appuyer les Etats-Unis dans leur volonté de réformer cette instance. Haley a ensuite été plus claire sur les raisons de ce sa décision en affirmant que le Conseil des droits de l’homme « se focalise de manière excessive et entretient une hostilité sans fin à l'égard d'Israël ». Preuve selon elle que les intentions sont « politiques ».
Allant jusqu’à qualifier l’institution de « hypocrite et égoïste » il y a fort à parier que cette décision motivée par les critiques étayées des horreurs commises en Israël ne permette pas de pacifier la situation locale. Alors que l’ambassadrice a affirme que son pays continuerait à s’engager en faveur des droits de l’homme, c’est un pas de plus dans le désengagement des Etats-Unis dans les instances internationales. Après l’Unesco, l’Accord de Paris, l’Accord sur le nucléaire et la en question des financements, Wahsington pèse de moins en moins dans le concert des Nations.