DR Impression écran
La formule perdante finit par provoquer un résultat attendu. Une soirée ennuyeuse, nombriliste et qui se prend au sérieux n’attire pas les foules. Et il n’y a que le monde du spectacle pour s’en étonner. Sans jamais vraiment trouver un ton et une ambiance propres, la cérémonie des César est une sous-soirée des Oscars. « Chaque année c'est la même rengaine : les cérémonies de récompenses passent, et de moins en moins de personnes ne les regardent. Mais cette année pourtant, il y a (de quoi) commenter sur les César 2019. Pas tant sur la cérémonie en elle-même, qui s'est déroulée sans encombre (mais sans éclat) malgré un hommage de Kad Merad à Queen dont on ne dira rien, ni même sur le palmarès, largement dominé par Jusqu'à la garde et Les Frères Sisters. Mais plutôt sur sa popularité » rapporte Ecran Large.
L’énorme avantage de cette édition 2019 est qu’il n’est plus nécessaire de s’aventurer à la descendre point par point. On aurait pourtant largement de quoi faire avec un concours d’égos risible après une année loin d’être exceptionnelle pour le cinéma français. On ne le fera pas notamment parce que les chiffres parlent d’eux-mêmes. « En constante perte de vitesse, la cérémonie a en effet atteint son point d'audience le plus critique depuis au moins 10 ans : selon la baromètre officiel Médiamétrie, les César ont attiré seulement 9,6% de part d'audience (1,8% de moins que l'année dernière), soit le niveau le plus bas depuis l'évènement de 2010, alors animé par Valérie Lemercier et Gad Elmaleh et qui n'avait réuni que 9,1% de part d'audience. Mais pire encore, selon Toute la Télé, si on convertit ces pourcentages en valeurs réelles, la chute est encore plus douloureuse : 1 646 000 téléspectateurs cette année contre 1 700 000 en 2010 » nous apprend le site spécialisé.
Retenons donc l’essentiel, comme le souligne Ecran Large « Le public a donc littéralement préféré regarder 300 choeurs chantent les années 80 (pas besoin d'expliquer le concept de l'émission) que les César, qui va avoir besoin de bien plus que Kad Merad et d'un César du meilleur film populaire pour retrouver des couleurs. »
L’énorme avantage de cette édition 2019 est qu’il n’est plus nécessaire de s’aventurer à la descendre point par point. On aurait pourtant largement de quoi faire avec un concours d’égos risible après une année loin d’être exceptionnelle pour le cinéma français. On ne le fera pas notamment parce que les chiffres parlent d’eux-mêmes. « En constante perte de vitesse, la cérémonie a en effet atteint son point d'audience le plus critique depuis au moins 10 ans : selon la baromètre officiel Médiamétrie, les César ont attiré seulement 9,6% de part d'audience (1,8% de moins que l'année dernière), soit le niveau le plus bas depuis l'évènement de 2010, alors animé par Valérie Lemercier et Gad Elmaleh et qui n'avait réuni que 9,1% de part d'audience. Mais pire encore, selon Toute la Télé, si on convertit ces pourcentages en valeurs réelles, la chute est encore plus douloureuse : 1 646 000 téléspectateurs cette année contre 1 700 000 en 2010 » nous apprend le site spécialisé.
Retenons donc l’essentiel, comme le souligne Ecran Large « Le public a donc littéralement préféré regarder 300 choeurs chantent les années 80 (pas besoin d'expliquer le concept de l'émission) que les César, qui va avoir besoin de bien plus que Kad Merad et d'un César du meilleur film populaire pour retrouver des couleurs. »