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En posant son téléphone sur un boitier et sans brancher de fil, on peut gagner un peu de temps. On peut aussi éviter des problèmes de fiches défectueuses. Mais pour ces petits avantages, on gaspille surtout beaucoup d’énergie. Le site OneZero exlique en effet qu’avec cette technique de rechargement, 47% d’énergie supplémentaire était consommée.
« Quand le téléphone est mal positionné sur le chargeur, cette déperdition énergétique peut même aller jusqu’à 80 %. L’électricité ainsi évaporée pourrait alimenter une ampoule basse consommation pendant quelques heures. Cela peut sembler peu mais quand on les additionne, ces pertes peuvent atteindre un niveau substantiel, qui ne fera qu’augmenter si les technologies de recharge sans fil deviennent une norme. L’enjeu est de taille, alors que l’impact environnemental des appareils électroniques pose de plus en plus question. Selon le Conseil national du numérique, ils seraient responsables de la moitié de la consommation liée au numérique (le reste provenant notamment des serveurs) » commente Le Figaro .
Une fois de plus, cette analyse très simple des caractéristiques énergétiques d’un appareil nous rappelle qu’il est incohérent de continuer à chercher des gadgets peu utiles pour notre quotidien quand ces derniers participent à la surconsommation d’énergie et donc aux émissions de CO2. « À ce titre, le CNNum a lancé un appel à la « sobriété numérique», pour inciter les constructeurs et les utilisateurs à limiter le coût écologique de leurs appareils. Sans citer précisément les chargeurs sans fil, il encourage à lutter contre le gaspillage et à réduire la consommation d’énergie et de ressources des technologies numériques » poursuit le quotidien français.
Une sobriété numérique qui dépasse très largement le seul rapport à la dépense d’énergie par les recharges. Appareils éteins quand on ne les utilise pas, onglets fermés, mails que lorsqu’ils sont utiles sont des habitudes à prendre au même titre que lorsque l’on coupe l’eau du robinet ou que l’on ne laisse pas allumer des ampoules inutilement allumées.
« Quand le téléphone est mal positionné sur le chargeur, cette déperdition énergétique peut même aller jusqu’à 80 %. L’électricité ainsi évaporée pourrait alimenter une ampoule basse consommation pendant quelques heures. Cela peut sembler peu mais quand on les additionne, ces pertes peuvent atteindre un niveau substantiel, qui ne fera qu’augmenter si les technologies de recharge sans fil deviennent une norme. L’enjeu est de taille, alors que l’impact environnemental des appareils électroniques pose de plus en plus question. Selon le Conseil national du numérique, ils seraient responsables de la moitié de la consommation liée au numérique (le reste provenant notamment des serveurs) » commente Le Figaro .
Une fois de plus, cette analyse très simple des caractéristiques énergétiques d’un appareil nous rappelle qu’il est incohérent de continuer à chercher des gadgets peu utiles pour notre quotidien quand ces derniers participent à la surconsommation d’énergie et donc aux émissions de CO2. « À ce titre, le CNNum a lancé un appel à la « sobriété numérique», pour inciter les constructeurs et les utilisateurs à limiter le coût écologique de leurs appareils. Sans citer précisément les chargeurs sans fil, il encourage à lutter contre le gaspillage et à réduire la consommation d’énergie et de ressources des technologies numériques » poursuit le quotidien français.
Une sobriété numérique qui dépasse très largement le seul rapport à la dépense d’énergie par les recharges. Appareils éteins quand on ne les utilise pas, onglets fermés, mails que lorsqu’ils sont utiles sont des habitudes à prendre au même titre que lorsque l’on coupe l’eau du robinet ou que l’on ne laisse pas allumer des ampoules inutilement allumées.