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La communication autour de la sortie du film Wonder Woman met très largement l’accent sur le féminisme supposé de l’œuvre. Outre qu’il s’agit d’un des rares films de superhéros qui met en tête d’affiche une femme seule, c’est une femme qui le réalise. La presse généraliste s’est empressée de saluer une œuvre féministe qui donne enfin sa place aux femmes dans le monde très masculin des blockbusters.
Dans les faits, il n’est pas certain que le film soit tant que ça une œuvre féministe. Déjà, la cible étant principalement masculine. « Entre séances de combats et d’entrainements, autour de ces femmes dures et guerrières, on pourrait presque penser que Wonder Woman serait une sorte de Xena, la guerrière, en plus bad-ass. Une première partie utile, entre épopée antique et mythologie, qui vient trancher avec la suite, déclenchée par l’arrivée de Chris Pine sur Paradise Island. (…) Et c’est à partir de là que le désenchantement va commencer, avec cette intrigue suivant le schéma classique du voyage initiatique » avance le site Brain Damaged dans un article qui affirme que le film est « divertissant mais pas vraiment féministe. »
Le site regrette de voir que l’héroïne aux super-pouvoirs dépendent durant tout le film d’un homme. « Comme si Wonder Woman était une atteinte à leur fierté masculine, cette dernière est constamment soit en train de justifier son objectif, essayant d’imposer ce qu’elle souhaite, mais surtout en attente de validation des hommes autour d’elle pour agir, ou la « conseiller » dans son entreprise » analyse l’article qui le déplore. « Pour un film dont on a fait tout un foin concernant son avancée féministe et féminine, pour une véritable héroïne forte, rebelle et combattante, voire déterminée, le résultat n’est pas à la hauteur du matraquage marketing. »
Lire ici en intégralité l’analyse sur site Brain Damaged
Dans les faits, il n’est pas certain que le film soit tant que ça une œuvre féministe. Déjà, la cible étant principalement masculine. « Entre séances de combats et d’entrainements, autour de ces femmes dures et guerrières, on pourrait presque penser que Wonder Woman serait une sorte de Xena, la guerrière, en plus bad-ass. Une première partie utile, entre épopée antique et mythologie, qui vient trancher avec la suite, déclenchée par l’arrivée de Chris Pine sur Paradise Island. (…) Et c’est à partir de là que le désenchantement va commencer, avec cette intrigue suivant le schéma classique du voyage initiatique » avance le site Brain Damaged dans un article qui affirme que le film est « divertissant mais pas vraiment féministe. »
Le site regrette de voir que l’héroïne aux super-pouvoirs dépendent durant tout le film d’un homme. « Comme si Wonder Woman était une atteinte à leur fierté masculine, cette dernière est constamment soit en train de justifier son objectif, essayant d’imposer ce qu’elle souhaite, mais surtout en attente de validation des hommes autour d’elle pour agir, ou la « conseiller » dans son entreprise » analyse l’article qui le déplore. « Pour un film dont on a fait tout un foin concernant son avancée féministe et féminine, pour une véritable héroïne forte, rebelle et combattante, voire déterminée, le résultat n’est pas à la hauteur du matraquage marketing. »
Lire ici en intégralité l’analyse sur site Brain Damaged