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Les résultats du box-office français montrent bien que l’univers magique inventé par JK Rowling passionne toujours autant. Après les succès planétaires des sept livres Harry Potter et huit films, c’est au tour des Animaux fantastiques de déchainer les foules. La célèbre écrivain britannique est désormais scénariste de ces films est la garantie pour les fans que l’imaginaire sera respecté. Finalement, ces films qui ne s’appuient pas dur des livres, prennent encore moins de risque que les adaptations des livres Harry Potter. Le casting et les mises en scènes avaient en effet été régulièrement critiquée parce que ne correspondant jamais vraiment à ce que les lecteurs avaient imaginé.
« Les Crimes de Grindewald, deuxième partie de cette saga dont l'intrigue a lieu en 1927, 60 ans avant les aventures du sorcier à la cicatrice, ont pris la tête du box-office dès sa première semaine d'exploitation. Plus de 1,6 million de spectateurs se sont laissés ensorceler, selon les chiffres de CBO Box Office mercredi. L'incohérence temporelle relevée par certains fans n'a visiblement pas refroidi les spectateurs. Tant pis si certains s'interrogent encore sur la présence dans le film de Minerva McGonagall, directrice de la maison Gryffondor dans les films Harry Potter, née en 1935, soit huit ans après l'intrigue des Crimes de Grindewald » écrit Le Figaro.
C’est le propre des œuvres de Science-fiction à succès de créer des fans hystériques à la recherche de la moindre incohérence pour s’insurger. A la sortie du premier film JK Rowling avait promis que les autres films expliqueront les incohérences repérées dès le premier opus, sur les cinq prévus. Mais là, avec un problème de date assez flagrant, elle sera peut être obligée de reconnaitre qu’elle s’est simplement trompée. Des pinaillages qui finalement ne changent pas grand-chose à l’intérêt que l’on peut porter à ces films : magie, dépaysement et beau spectacle.
« Les Crimes de Grindewald, deuxième partie de cette saga dont l'intrigue a lieu en 1927, 60 ans avant les aventures du sorcier à la cicatrice, ont pris la tête du box-office dès sa première semaine d'exploitation. Plus de 1,6 million de spectateurs se sont laissés ensorceler, selon les chiffres de CBO Box Office mercredi. L'incohérence temporelle relevée par certains fans n'a visiblement pas refroidi les spectateurs. Tant pis si certains s'interrogent encore sur la présence dans le film de Minerva McGonagall, directrice de la maison Gryffondor dans les films Harry Potter, née en 1935, soit huit ans après l'intrigue des Crimes de Grindewald » écrit Le Figaro.
C’est le propre des œuvres de Science-fiction à succès de créer des fans hystériques à la recherche de la moindre incohérence pour s’insurger. A la sortie du premier film JK Rowling avait promis que les autres films expliqueront les incohérences repérées dès le premier opus, sur les cinq prévus. Mais là, avec un problème de date assez flagrant, elle sera peut être obligée de reconnaitre qu’elle s’est simplement trompée. Des pinaillages qui finalement ne changent pas grand-chose à l’intérêt que l’on peut porter à ces films : magie, dépaysement et beau spectacle.