Des millions d’enfants vont mourir de pneumonie durant les prochaines années. Un constat d’autant plus difficile à accepter que cette maladie respiratoire est traitable. « Ce lundi 12 novembre, c'est la journée mondiale de lutte contre la pneumonie. Une infection des poumons qui peut être mortelle, et dont les projections à moyen terme sont alarmantes, à en croire les experts. En particulier chez les enfants de moins de 5 ans. Ainsi, à l'horizon 2030, les spécialistes estiment que près de 11 millions d'enfants mourront de cette maladie » assure RTL.
D’après l’OMS, la pneumonie est à elle seule responsable de 15% du nombre total de morts d’enfants de moins de cinq ans. « En 2015, la pneumonie a tué 922.000 enfants de moins de 5 ans dans le monde, ajoute l'OMS, qui précise qu'elle peut être provoquée par des bactéries ou des champignons. "La prévention est possible grâce à la vaccination, un état nutritionnel satisfaisant et une amélioration des facteurs environnementaux", souligne l'OMS » rapporte la radio française.
La situation varie considérablement selon les pays. Le Nigeria, l’Inde, le Pakistan et la République démocratique du Congo totalisent à eux quatre trois millions des 10,8 millions de morts anticipés pour 2030. « Selon l'étude publiée lundi, 4,1 millions d'enfants pourraient être sauvés en mettant en œuvre un ensemble de mesures : augmenter la couverture vaccinale mondiale, assurer un accès aux antibiotiques et améliorer l'alimentation des enfants menacés » ajoute RTL. Imaginer que ces centaines de milliers d’enfants vont mourir alors même qu’il existe des moyens de les protéger de ce fléau est intolérable. « Il n'y a pas de sommet mondial ou de marche contre la pneumonie. Pourtant, quiconque se préoccupe de la santé des enfants devrait considérer ce tueur négligé comme une cause prioritaire » a déclaré Kevin Watkins, responsable de l’association Save the children.
D’après l’OMS, la pneumonie est à elle seule responsable de 15% du nombre total de morts d’enfants de moins de cinq ans. « En 2015, la pneumonie a tué 922.000 enfants de moins de 5 ans dans le monde, ajoute l'OMS, qui précise qu'elle peut être provoquée par des bactéries ou des champignons. "La prévention est possible grâce à la vaccination, un état nutritionnel satisfaisant et une amélioration des facteurs environnementaux", souligne l'OMS » rapporte la radio française.
La situation varie considérablement selon les pays. Le Nigeria, l’Inde, le Pakistan et la République démocratique du Congo totalisent à eux quatre trois millions des 10,8 millions de morts anticipés pour 2030. « Selon l'étude publiée lundi, 4,1 millions d'enfants pourraient être sauvés en mettant en œuvre un ensemble de mesures : augmenter la couverture vaccinale mondiale, assurer un accès aux antibiotiques et améliorer l'alimentation des enfants menacés » ajoute RTL. Imaginer que ces centaines de milliers d’enfants vont mourir alors même qu’il existe des moyens de les protéger de ce fléau est intolérable. « Il n'y a pas de sommet mondial ou de marche contre la pneumonie. Pourtant, quiconque se préoccupe de la santé des enfants devrait considérer ce tueur négligé comme une cause prioritaire » a déclaré Kevin Watkins, responsable de l’association Save the children.