Source : Pixabay, image libre de droits.
« La bâtisse n'a rien d'un château hollywoodien doré sur tranche comme on peut en trouver dans la Cité des anges » explique un article en ligne du journal Le Point, qui précise qu’il s'agit « d'une modeste hacienda des années 1920, construite par un comptable des studios hollywoodiens au fond d'un cul-de-sac, dans le quartier de Brentwood, proche du Pacifique. »
Composée de quatre chambres, de trois salles de bain, d’une piscine et d’une cour à l'ombre des palmiers, la maison est, selon l’article, un véritable « petit havre de paix, chic et bohême, sur un terrain de plus de 2 000 mètres carrés, avec ses pièces de plain-pied, ses toits de tuiles, ses grilles en fer forgé et des bougainvilliers qui s'accrochent au crépi blanc. »
Composée de quatre chambres, de trois salles de bain, d’une piscine et d’une cour à l'ombre des palmiers, la maison est, selon l’article, un véritable « petit havre de paix, chic et bohême, sur un terrain de plus de 2 000 mètres carrés, avec ses pièces de plain-pied, ses toits de tuiles, ses grilles en fer forgé et des bougainvilliers qui s'accrochent au crépi blanc. »
Le 5 août, le clap de fin
Selon L’Express, « quand Marilyn Monroe découvre la maison, en 1961, c'est le coup de foudre : elle adore le solarium, le pavillon d'amis, son cachet espagnol vintage... »
Par conséquent, la star « l'achète pour moins de 100 000 dollars et entreprend de la meubler dans le style colonial, en allant dévaliser les boutiques de décorateurs à Mexico. » L’article rappelle qu’à l'époque, « elle tente de remonter la pente tant bien que mal... Shootée aux médicaments, accro à l'alcool et épaulée par son médecin personnel et son psychiatre Ralph Greenson, ses caprices ont fini par agacer les studios. »
La vie privée de la star américaine est alors un désastre : « après son récent divorce avec le dramaturge Arthur Miller, elle vient de se faire larguer par le président John Kennedy... Malgré tout, elle n'abandonne pas et projette même de se remarier avec son ex Joe DiMaggio. Une date a même été fixée : le 8 août 1962. En attendant, elle déballe ses cartons, prend la pose pour le magazine Life, fait un saut sur les plateaux, et tient le coup avec des somnifères. »
C’est le 5 août que la police investit la demeure : « Le corps sans vie de la star gît sur son lit, un drap sur la tête, laissant apercevoir quelques mèches blond platine », écrit L’Express, qui précise que « sa gouvernante et son psychiatre, qui n'habite pas loin, ont donné l'alerte après avoir découvert la scène. Officiellement, Marilyn, 36 ans, a succombé à une overdose de Nembutal, un barbiturique. »
Il en reste que la version de la mort de l’actrice n’a pas arrêtée d’être remise en question depuis plus d’une cinquantaine d’années.
Par conséquent, la star « l'achète pour moins de 100 000 dollars et entreprend de la meubler dans le style colonial, en allant dévaliser les boutiques de décorateurs à Mexico. » L’article rappelle qu’à l'époque, « elle tente de remonter la pente tant bien que mal... Shootée aux médicaments, accro à l'alcool et épaulée par son médecin personnel et son psychiatre Ralph Greenson, ses caprices ont fini par agacer les studios. »
La vie privée de la star américaine est alors un désastre : « après son récent divorce avec le dramaturge Arthur Miller, elle vient de se faire larguer par le président John Kennedy... Malgré tout, elle n'abandonne pas et projette même de se remarier avec son ex Joe DiMaggio. Une date a même été fixée : le 8 août 1962. En attendant, elle déballe ses cartons, prend la pose pour le magazine Life, fait un saut sur les plateaux, et tient le coup avec des somnifères. »
C’est le 5 août que la police investit la demeure : « Le corps sans vie de la star gît sur son lit, un drap sur la tête, laissant apercevoir quelques mèches blond platine », écrit L’Express, qui précise que « sa gouvernante et son psychiatre, qui n'habite pas loin, ont donné l'alerte après avoir découvert la scène. Officiellement, Marilyn, 36 ans, a succombé à une overdose de Nembutal, un barbiturique. »
Il en reste que la version de la mort de l’actrice n’a pas arrêtée d’être remise en question depuis plus d’une cinquantaine d’années.