Source : Pixabay, image libre de droits
« Qu'il s'agisse des espèces ou des écosystèmes, la diversité biologique est indispensable à la santé et au bien-être de l'espèce humaine », a déclaré mercredi le Secrétaire général dans un message.
L'édition 2019 de la Journée internationale de la diversité biologique, placée sous le thème « Notre nourriture, notre santé, et notre biodiversité », cherche a souligné les liens étroits entre la santé la nourriture et les milieux naturels.
« Pour assurer la qualité de l'eau que nous buvons, de la nourriture que nous mangeons et de l'air que nous respirons, nous devons maintenir la nature en bonne santé », a précisé António Guterres.
Pourtant la nature décline à un rythme sans précédent dans toute l'histoire de l'humanité, selon la dernière étude de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques. Les écosystèmes de la planète font face à des menaces sans précédent.
Depuis 1990, la déforestation a entraîné la perte de plus de 290 millions d'hectares de forêts qui contribuaient à absorber les émissions nocives de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
Un million d'espèces végétales et animales sont menacées d'extinction et plus de 90% des stocks de poissons marins sont en baisse ou sont surexploités.
Selon l'ONU, les conséquences pour les populations du monde entier seront graves et pourraient compromettre la réalisation de 80% des cibles des objectifs de développement durable.
L'édition 2019 de la Journée internationale de la diversité biologique, placée sous le thème « Notre nourriture, notre santé, et notre biodiversité », cherche a souligné les liens étroits entre la santé la nourriture et les milieux naturels.
« Pour assurer la qualité de l'eau que nous buvons, de la nourriture que nous mangeons et de l'air que nous respirons, nous devons maintenir la nature en bonne santé », a précisé António Guterres.
Pourtant la nature décline à un rythme sans précédent dans toute l'histoire de l'humanité, selon la dernière étude de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques. Les écosystèmes de la planète font face à des menaces sans précédent.
Depuis 1990, la déforestation a entraîné la perte de plus de 290 millions d'hectares de forêts qui contribuaient à absorber les émissions nocives de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
Un million d'espèces végétales et animales sont menacées d'extinction et plus de 90% des stocks de poissons marins sont en baisse ou sont surexploités.
Selon l'ONU, les conséquences pour les populations du monde entier seront graves et pourraient compromettre la réalisation de 80% des cibles des objectifs de développement durable.