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"Cette étape marque la réalisation de l'une des cibles pour l'élimination de l'hépatite virale figurant dans les objectifs de développement durable (ODD) et consistant à ramener la prévalence de l'infection par le VHB chez les enfants de moins de 5 ans à moins de 1 % d'ici à 2020", explique dans un communiqué l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé).
« Aucun enfant ne devrait risquer de décéder plus tard du simple fait qu'il n'a pas été vacciné lorsqu'il était nourrisson. L'étape que nous venons de franchir signifie que nous avons fortement réduit le nombre de cas de lésion hépatique et de cancer du foie chez les générations futures », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l'OMS. « La prévention de la transmission de l'hépatite B de la mère à l'enfant est la stratégie centrale pour combattre la maladie et sauver des vies. Même au coeur de la pandémie de COVID-19, nous devons veiller à ce que les mères et leurs nourrissons aient accès aux services vitaux et notamment aux vaccinations contre l'hépatite B. »
À l'occasion de la Journée mondiale contre l'hépatite 2020, l'OMS "appelle à l'action et à l'unité pour se servir de cette réalisation comme d'un tremplin. Elle exhorte à redoubler d'efforts pour prévenir la transmission mère-enfant du VHB en dépistant les femmes enceintes, en administrant une prophylaxie antivirale à ceux qui en ont besoin et en maintenant et en élargissant l'accès à la vaccination contre l'hépatite B et à la dose de naissance du vaccin."
Au niveau mondial, "plus de 250 millions de personnes vivent avec une infection chronique par le VHB. Les nourrissons sont particulièrement vulnérables : environ 90 % des enfants infectés par ce virus pendant leur première année de vie en deviennent des porteurs chroniques. Le VHB attaque le foie et emporte près de 900 000 personnes chaque année", assure encore l'OMS.
« Aucun enfant ne devrait risquer de décéder plus tard du simple fait qu'il n'a pas été vacciné lorsqu'il était nourrisson. L'étape que nous venons de franchir signifie que nous avons fortement réduit le nombre de cas de lésion hépatique et de cancer du foie chez les générations futures », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l'OMS. « La prévention de la transmission de l'hépatite B de la mère à l'enfant est la stratégie centrale pour combattre la maladie et sauver des vies. Même au coeur de la pandémie de COVID-19, nous devons veiller à ce que les mères et leurs nourrissons aient accès aux services vitaux et notamment aux vaccinations contre l'hépatite B. »
À l'occasion de la Journée mondiale contre l'hépatite 2020, l'OMS "appelle à l'action et à l'unité pour se servir de cette réalisation comme d'un tremplin. Elle exhorte à redoubler d'efforts pour prévenir la transmission mère-enfant du VHB en dépistant les femmes enceintes, en administrant une prophylaxie antivirale à ceux qui en ont besoin et en maintenant et en élargissant l'accès à la vaccination contre l'hépatite B et à la dose de naissance du vaccin."
Au niveau mondial, "plus de 250 millions de personnes vivent avec une infection chronique par le VHB. Les nourrissons sont particulièrement vulnérables : environ 90 % des enfants infectés par ce virus pendant leur première année de vie en deviennent des porteurs chroniques. Le VHB attaque le foie et emporte près de 900 000 personnes chaque année", assure encore l'OMS.