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Seulement 800 000 appartements qui sont des résidences principales ont un balcon ou un espace en extérieur. Ce qui représente 6% du total de ces biens. Ces biens étaient donc très courus avant le confinement et le seront d’autant plus désormais. « Auparavant, le fait de disposer d'un balcon ou d'une terrasse était bien sûr un bonus mais l'absence d'un extérieur n'était pas un facteur rédhibitoire à l'achat. Aujourd'hui, cela devient un critère de recherche déterminant », explique au Parisien-Aujourd’hui en France le responsable des études de Meilleurs Agents.
Un élément qui a forcément un impact sur les prix. En moyenne donc – étant donné que les balcons ou espaces extérieurs sont très variables en fonction des biens – les prix augmentent de 8,8% lorsqu’ils ont un espace extérieur. « Une surcote loin d'être négligeable. Ainsi, pour un appartement de 80 mètres carrés, il faudrait débourser 22 000 euros de plus à Toulouse (Haute-Garonne), 29 000 euros à Nice (Alpes-Maritimes), 31 500 euros à Lyon (Rhône) et jusqu'à… plus de 75 000 euros à Paris. Une moyenne qui cache de profondes disparités. Entre les villes d'abord. « Une terrasse a proportionnellement deux fois plus de valeur à Marseille (Bouches-du-Rhône) qu'à Paris car on en profite beaucoup plus dans une ville qui jouit d'un fort ensoleillement, souligne Thomas Lefebvre. A l'inverse, l'impact sur le prix est faible à Lille (Nord) » » rapporte le quotidien.
Ces moyennes indiquent des tendances mais ne sont pas représentatives de la situation. En effet, entre une terrasse sur le toit et 1 m2 au premier étage, l’effet sur les prix est bien différent. « Meilleurs Agents a fait le calcul : l'impact d'un balcon ou d'une terrasse de bonne taille est de + 6,9 % entre le premier et le troisième étage, de + 8,5 % au quatrième ou cinquième étage et grimpe à + 14,1 % au dernier étage, synonyme de calme et de luminosité » précise Le Parisien.
Un élément qui a forcément un impact sur les prix. En moyenne donc – étant donné que les balcons ou espaces extérieurs sont très variables en fonction des biens – les prix augmentent de 8,8% lorsqu’ils ont un espace extérieur. « Une surcote loin d'être négligeable. Ainsi, pour un appartement de 80 mètres carrés, il faudrait débourser 22 000 euros de plus à Toulouse (Haute-Garonne), 29 000 euros à Nice (Alpes-Maritimes), 31 500 euros à Lyon (Rhône) et jusqu'à… plus de 75 000 euros à Paris. Une moyenne qui cache de profondes disparités. Entre les villes d'abord. « Une terrasse a proportionnellement deux fois plus de valeur à Marseille (Bouches-du-Rhône) qu'à Paris car on en profite beaucoup plus dans une ville qui jouit d'un fort ensoleillement, souligne Thomas Lefebvre. A l'inverse, l'impact sur le prix est faible à Lille (Nord) » » rapporte le quotidien.
Ces moyennes indiquent des tendances mais ne sont pas représentatives de la situation. En effet, entre une terrasse sur le toit et 1 m2 au premier étage, l’effet sur les prix est bien différent. « Meilleurs Agents a fait le calcul : l'impact d'un balcon ou d'une terrasse de bonne taille est de + 6,9 % entre le premier et le troisième étage, de + 8,5 % au quatrième ou cinquième étage et grimpe à + 14,1 % au dernier étage, synonyme de calme et de luminosité » précise Le Parisien.