Pixabay - Image libre de droit
« Mal de gorge », « genoux qui lance », « migraines ophtalmiques » autant de mots clés tapés tous les jours par millions dans le moteur de recherche. Souvent plus aptes à exacerber les inquiétudes hypocondriaques qu’à les calmer, c’est indéniablement un réflexe pour beaucoup d’internautes. Un phénomène qui pousse Google à réfléchir au développement d’un service adapté à cette demande croissante avec une recherche sur cent d’ordre médical.
« Par exemple, si vous tapez « maux de tête d’un côté », Google vous détaillera les différents diagnostics qui peuvent y être associés. Ici, en l’occurrence, ça peut correspondre à une « migraine », une « céphalée de tension », une « sinusite » ou bien un « rhume ». Ces informations, la multinationale les tire d’experts de la faculté de médecine d’Harvard ainsi que de professionnels de la Mayo Clinic, aux États-Unis » explique Femme Actuelle.
« Par exemple, si vous tapez « maux de tête d’un côté », Google vous détaillera les différents diagnostics qui peuvent y être associés. Ici, en l’occurrence, ça peut correspondre à une « migraine », une « céphalée de tension », une « sinusite » ou bien un « rhume ». Ces informations, la multinationale les tire d’experts de la faculté de médecine d’Harvard ainsi que de professionnels de la Mayo Clinic, aux États-Unis » explique Femme Actuelle.
Outil de prévention d’épidémies
Très ambitieux, Google imagine même que son service serve à prévenir les épidémies, notamment en analysant les symptômes décrits par les internautes et les localisations. Les personnes localisées dans une zone où les symptômes de grippe sont particulièrement recherchés, recevra ainsi une alerte. Pas sûr que l’initiative parvienne à calmer les inquiétudes dans ces conditions…
A l’état de projet l’idée suscite déjà des inquiétudes. En effet, même s’il est clair, comme le souligne Femme Actuelle que « internet ne pourra jamais avoir la même précision de diagnostic que votre médecin. Car si ces informations ne remplaceront pas l’avis d’un docteur, elles pourront toujours dépanner en cas de besoin » les problèmes sont nombreux. En cas de diagnostic d’une maladie même bénigne, les risques liés à l’automédication sont nombreux. Par ailleurs, les symptômes listés n’ont de valeur qu’en fonction de la psychologie de l’internaute, qui excepté un médecin expérimenté ou qui connait son patient, peut en effet interpréter le degré de douleur et le besoin effectif de traitement ?
A l’état de projet l’idée suscite déjà des inquiétudes. En effet, même s’il est clair, comme le souligne Femme Actuelle que « internet ne pourra jamais avoir la même précision de diagnostic que votre médecin. Car si ces informations ne remplaceront pas l’avis d’un docteur, elles pourront toujours dépanner en cas de besoin » les problèmes sont nombreux. En cas de diagnostic d’une maladie même bénigne, les risques liés à l’automédication sont nombreux. Par ailleurs, les symptômes listés n’ont de valeur qu’en fonction de la psychologie de l’internaute, qui excepté un médecin expérimenté ou qui connait son patient, peut en effet interpréter le degré de douleur et le besoin effectif de traitement ?