Dans un communiqué de l'ONU, la jeune fille prend la parole et affirme que "l'éducation est importante, surtout pour les filles", ajoutant qu'elle "permet de développer la confiance en soi, de mettre en valeur ses talents personnels et de s'exprimer en faveur de ses propres droits, si nous ne sommes pas éduquées, nous ne serons pas conscientes de nos droits et de nos responsabilités."
Ce sont les enseignants qui déclenchent tout, explique la jeune femme dans ce même communiqué : "ils demandent ce que l'on veut faire dans l'avenir. Si l'on répond « devenir médecin », ils ne peuvent pas dire « mais tu es une fille ». Ils doivent plutôt dire « tu peux y arriver ».
Elle ajoute : "Et l'on doit vraiment demander aux filles ce qu'elles veulent faire dans la vie, car beaucoup d'entre elles ont peur de la façon dont leur famille réagira. Un grand nombre de ces filles ne veulent pas se hasarder à se lancer dans des cours comme les sciences ou les mathématiques, car elles craignent que leur famille désapprouve leur choix. Il faut dire aux filles qu'elles peuvent être tout ce qu'elles souhaitent devenir".
Jakomba Jabbie se donne ainsi en exemple pour illustrer son propos : "Prenez mon cas : je voudrais étudier la robotique, et je voudrais devenir ingénieure en aérospatiale. J'ai créé une équipe de robotique à l'école pour montrer aux filles que l'on peut également s'investir dans le domaine de la technologie, pour leur parler et pour en faire un espace commun à toutes. Je sais que beaucoup de filles sont intéressées par les sciences et la technologie. Notre club de robotique n'est pas seulement destiné aux filles, mais il encourage davantage de filles à s'associer à différents domaines scientifiques".
"Nous devons les sensibiliser et faire savoir à ces communautés que les filles se doivent de contribuer à l'innovation et à la technologie. Nous devons unir nos forces pour développer le monde », conclut Jakomba Jabbie citée dans ce communiqué.
Ce sont les enseignants qui déclenchent tout, explique la jeune femme dans ce même communiqué : "ils demandent ce que l'on veut faire dans l'avenir. Si l'on répond « devenir médecin », ils ne peuvent pas dire « mais tu es une fille ». Ils doivent plutôt dire « tu peux y arriver ».
Elle ajoute : "Et l'on doit vraiment demander aux filles ce qu'elles veulent faire dans la vie, car beaucoup d'entre elles ont peur de la façon dont leur famille réagira. Un grand nombre de ces filles ne veulent pas se hasarder à se lancer dans des cours comme les sciences ou les mathématiques, car elles craignent que leur famille désapprouve leur choix. Il faut dire aux filles qu'elles peuvent être tout ce qu'elles souhaitent devenir".
Jakomba Jabbie se donne ainsi en exemple pour illustrer son propos : "Prenez mon cas : je voudrais étudier la robotique, et je voudrais devenir ingénieure en aérospatiale. J'ai créé une équipe de robotique à l'école pour montrer aux filles que l'on peut également s'investir dans le domaine de la technologie, pour leur parler et pour en faire un espace commun à toutes. Je sais que beaucoup de filles sont intéressées par les sciences et la technologie. Notre club de robotique n'est pas seulement destiné aux filles, mais il encourage davantage de filles à s'associer à différents domaines scientifiques".
"Nous devons les sensibiliser et faire savoir à ces communautés que les filles se doivent de contribuer à l'innovation et à la technologie. Nous devons unir nos forces pour développer le monde », conclut Jakomba Jabbie citée dans ce communiqué.