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La pression médiatique a forcé la diplomatie turque à se prononcer sur le cas de Fabien Azoulay. Ce Français a été arrêté en 2017 à Istanbul où il se rendait pour des implants capillaires en possession d’une fiole de GBL, un solvant considéré comme une drogue. Alors que son cas est jugé problématique depuis sa condamnation en 2018 à 20 ans de prison puis finalement à 16 ans et 8 mois, il a fallu attendre la tournée médiatique de son avocate pour que les autorités turques se prononcent clairement.
« "Les autorités turques n'ont aucune objection de principe concernant le transfèrement" de Fabien Azoulay, un Français condamné à 16 ans de prison par la justice turque pour détention de stupéfiants, a assuré l'ambassadeur de Turquie ce lundi soir au micro de BFMTV. Les proches et avocats du détenu "se disent inquiets pour sa sécurité et exigent son transfert en France. "À ce stade, il n'y a aucun refus de la part de la Turquie, aucune raison de penser qu'il y aurait une difficulté, il faut juste laisser la procédure se terminer", a déclaré Ali Onaner lundi sur notre antenne, affirmant que "la demande de transfèrement avait été faite" et qu'elle suivait actuellement "son cours" » rapporte la chaine d’infos.
Ouvrant la porte à un règlement de ce dossier, le diplomate a assuré que dans ce genre de dossiers le délai normal est de trois ans, ce qui tombe à pic puisque c’est exactement le nombre d’années qui nous sépare de l’arrestation de Fabien Azoulay… Et tandis que l’avocate de ce dernier assure que mi-mars la diplomatie française n’avait pas reçu le dossier de son ressortissant. Quant aux conditions de détention, l’ambassadeur assure qu’elles ne sont pas celles décrites par la famille et la défense du Franco-américain. « Il faut savoir que ces demandes de transfèrement prennent jusqu'à trois ans pour que toutes les formalités soient accomplies en fonction des conventions internationales auxquelles adhèrent la France et la Turquie", s'est défendu l'ambassadeur Ali Onaner, comparant "les conditions de détention turques à celles des autres pays européen », rapporte BFM.
« "Les autorités turques n'ont aucune objection de principe concernant le transfèrement" de Fabien Azoulay, un Français condamné à 16 ans de prison par la justice turque pour détention de stupéfiants, a assuré l'ambassadeur de Turquie ce lundi soir au micro de BFMTV. Les proches et avocats du détenu "se disent inquiets pour sa sécurité et exigent son transfert en France. "À ce stade, il n'y a aucun refus de la part de la Turquie, aucune raison de penser qu'il y aurait une difficulté, il faut juste laisser la procédure se terminer", a déclaré Ali Onaner lundi sur notre antenne, affirmant que "la demande de transfèrement avait été faite" et qu'elle suivait actuellement "son cours" » rapporte la chaine d’infos.
Ouvrant la porte à un règlement de ce dossier, le diplomate a assuré que dans ce genre de dossiers le délai normal est de trois ans, ce qui tombe à pic puisque c’est exactement le nombre d’années qui nous sépare de l’arrestation de Fabien Azoulay… Et tandis que l’avocate de ce dernier assure que mi-mars la diplomatie française n’avait pas reçu le dossier de son ressortissant. Quant aux conditions de détention, l’ambassadeur assure qu’elles ne sont pas celles décrites par la famille et la défense du Franco-américain. « Il faut savoir que ces demandes de transfèrement prennent jusqu'à trois ans pour que toutes les formalités soient accomplies en fonction des conventions internationales auxquelles adhèrent la France et la Turquie", s'est défendu l'ambassadeur Ali Onaner, comparant "les conditions de détention turques à celles des autres pays européen », rapporte BFM.