Noir de rage, vert de peur, voir rouge …Si l’histoire des couleurs est passionnante, les expressions consacrées dans la langue française, le sont également. Ainsi, quasiment toutes les couleurs sont utilisées pour signifier quelque chose, souvent un état : rouge de colère, bleu de froid… En revanche, tout cela est bien calé. Le qualificatif de la couleur n’étant pas remplaçable dans le vocable : si on est rouge de colère ou vert de rage, on ne peut pas être vert de colère...
Cela est vrai pour la France. Mais dès que l’on passe les frontières hexagonales, les torchons et les serviettes se mélangent ! En France, on a communément une peur bleue. En revanche, quand les britanniques se « sentent bleus », soit feel blue, c’est qu’ils ont le cafard. Autrement dit, ils broient du noir… Heureusement, s’ils rient, c’est plutôt jaune comme nous. Même si parfois, les Français rient aux éclats ! Les différences entre pays sont légions. Et amusantes. Ainsi, en Espagne « Mettre quelqu’un au vert », ce n’est pas l‘envoyer quelques jours à la campagne se reposer avant qu’il ne soit trop surmené, c’est dire du mal de lui.
En France, quand on a mauvaise mine, on est blanc comme un linge. Mais en Angleterre, on sera « vert autour des branchies », green around the gills. L’histoire ne dit pas s’il est question des branchies de grenouilles… françaises. Quand on manque d’expérience en France, on est qualifié de bleu, mais de « corne verte » chez les Anglo-Saxons. De quoi en perdre son latin.
Heureusement, chez nous, on a encore la main verte et on en voit parfois des vertes et des pas mûres… Si en France, on marque un jour d’une pierre blanche, de l’autre côté de la Manche, on dira un « jour à lettre rouge », soit red-letter day, en Anglais dans le texte. Toutes ces nuances, de quoi voir rouge et de quoi entrer dans une colère noire !
Cela est vrai pour la France. Mais dès que l’on passe les frontières hexagonales, les torchons et les serviettes se mélangent ! En France, on a communément une peur bleue. En revanche, quand les britanniques se « sentent bleus », soit feel blue, c’est qu’ils ont le cafard. Autrement dit, ils broient du noir… Heureusement, s’ils rient, c’est plutôt jaune comme nous. Même si parfois, les Français rient aux éclats ! Les différences entre pays sont légions. Et amusantes. Ainsi, en Espagne « Mettre quelqu’un au vert », ce n’est pas l‘envoyer quelques jours à la campagne se reposer avant qu’il ne soit trop surmené, c’est dire du mal de lui.
En France, quand on a mauvaise mine, on est blanc comme un linge. Mais en Angleterre, on sera « vert autour des branchies », green around the gills. L’histoire ne dit pas s’il est question des branchies de grenouilles… françaises. Quand on manque d’expérience en France, on est qualifié de bleu, mais de « corne verte » chez les Anglo-Saxons. De quoi en perdre son latin.
Heureusement, chez nous, on a encore la main verte et on en voit parfois des vertes et des pas mûres… Si en France, on marque un jour d’une pierre blanche, de l’autre côté de la Manche, on dira un « jour à lettre rouge », soit red-letter day, en Anglais dans le texte. Toutes ces nuances, de quoi voir rouge et de quoi entrer dans une colère noire !