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Le 6 février est la journée où il faut en parler. Les Nations Unies ont fait un bilan sur les mutilations génitales féminines à l’occasion de la journée internationale. Excision, ablations du clitoris ou autres pratiques mutilantes pour des raisons qui ne sont pas médicales sont encore très largement répandues dans le monde.
« De nombreux pays d'Afrique sont concernés par les violences sexuelles à l'égard des petites filles, notamment en Éthiopie, en Mauritanie, en Somalie ou encore en Guinée. Mais ce continent n'est pas la seule région du monde où se pratiquent les mutilations génitales. Au Moyen-Orient et Proche-Orient (comme en Egypte, en Irak, au Yémen), en Asie (Indonésie, Malaisie) et en Amérique latine, les filles et les femmes doivent aussi faire face à ces violences » résume RTL . D’après un rapport qui fait le bilan, les pays européens et d’Amérique du Nord sont aussi concernés, notamment les populations immigrées originaires d’Afrique. En France, 53 000 femmes seraient concernées. Mais ici, contrairement à la plupart des pays du monde, elles peuvent avoir accès à de la chirurgie réparatrice et être remboursées.
Véritable fléau mondial, les mutilations de ce type ont touché 200 millions de filles et il y aurait 3 millions de fillettes mutilées chaque année. Dans la plupart des cas, elles sont agressées de la sorte avant d’avoir 14 ans. « L'ONU et l'Unicef sont particulièrement mobilisés dans la lutte contre les mutilations génitales, notamment à travers un "programme commun" dont l'objectif principal est, depuis 2007, de "protéger les femmes et les jeunes filles (...) dans le cadre d'une approche à la fois respectueuse des différences culturelles et axée sur les droits humains". Des médecins sont également spécialisés dans la réparation des appareils génitaux mutilés, à l'image du docteure Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue obstétricienne qui lutte contre toutes les formes de violences sexuelles à l'égard des femmes » poursuit RTL.
« De nombreux pays d'Afrique sont concernés par les violences sexuelles à l'égard des petites filles, notamment en Éthiopie, en Mauritanie, en Somalie ou encore en Guinée. Mais ce continent n'est pas la seule région du monde où se pratiquent les mutilations génitales. Au Moyen-Orient et Proche-Orient (comme en Egypte, en Irak, au Yémen), en Asie (Indonésie, Malaisie) et en Amérique latine, les filles et les femmes doivent aussi faire face à ces violences » résume RTL . D’après un rapport qui fait le bilan, les pays européens et d’Amérique du Nord sont aussi concernés, notamment les populations immigrées originaires d’Afrique. En France, 53 000 femmes seraient concernées. Mais ici, contrairement à la plupart des pays du monde, elles peuvent avoir accès à de la chirurgie réparatrice et être remboursées.
Véritable fléau mondial, les mutilations de ce type ont touché 200 millions de filles et il y aurait 3 millions de fillettes mutilées chaque année. Dans la plupart des cas, elles sont agressées de la sorte avant d’avoir 14 ans. « L'ONU et l'Unicef sont particulièrement mobilisés dans la lutte contre les mutilations génitales, notamment à travers un "programme commun" dont l'objectif principal est, depuis 2007, de "protéger les femmes et les jeunes filles (...) dans le cadre d'une approche à la fois respectueuse des différences culturelles et axée sur les droits humains". Des médecins sont également spécialisés dans la réparation des appareils génitaux mutilés, à l'image du docteure Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue obstétricienne qui lutte contre toutes les formes de violences sexuelles à l'égard des femmes » poursuit RTL.