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La situation est grave en Ethiopie. Dans cette région d'Afrique, le pays est accueille des millions des déplacés, qu'il s'agisse d''Ethiopiens ou de réfugiés. Dans un communiqué, Action contre la Faim tire la sonnette d'alarme sur la situation du pays et de ses habitants. Ces populations vulnérables sont particulièrement concernées par les risques de famines qui guettent de nouveau le pays.
Avec ses 109 millions d'habitants, l'Éthiopie est le "deuxième pays le plus peuplé d'Afrique après le Nigéria, et l'économie qui connaît la croissance la plus rapide de la région, mais c'est aussi le pays le plus pauvre", souligne ACF, précisant que "plus de 70% de la population vit de l'agriculture dans un pays de plus en plus frappé par les dérèglements climatiques". En outre, l'Éthiopie "souffre de l'insécurité alimentaire et des déplacements internes causés par la sécheresse, les épidémies et les inondations, ainsi que des chocs climatiques récurrents, qui s'ajoutent aux besoins humanitaires des populations les plus vulnérables".
Le pays est malheureusement habitué à ces conditions climatiques dures et à leurs répercussions sur la santé publique.
Par ailleurs, "les catastrophes naturelles s'enchainent en Éthiopie depuis des décennies, dans un pays déjà tristement fragilisé par des crises alimentaires", indique ACF. Car en 1983, "une famine sans précédent frappe la population et avait suscité l'émoi de la communauté internationale; définie comme la pire famine depuis le siècle dernier, elle avait laissé plus d'un millions de victimes et 2,5 millions de déplacés internes."
Déjà en 2016, "le pays avait dû affronter la pire sécheresse des 50 dernières années, près de 10 millions d'éthiopiens ont eu besoin d'une aide alimentaire d'urgence. Selon l'Organisation des Nations Unies, la forêt en Éthiopie recouvrait 4% du territoire dans les années 2000 alors qu'un siècle plus tôt elle en recouvrait 35%", poursuit Action contre la Faim.
Aujourd'hui encore, en 2019, "la menace de la sécheresse plane à nouveau sur la population, une grande partie des points d'eau sont asséchés", écrit dans son communiqué ACF. Ainsi, dans le village de Tesso Qelo, dans la région de Borena, "il ne reste que deux points d'eau encore actifs qui se trouvent à 3h de marche."
Avec ses 109 millions d'habitants, l'Éthiopie est le "deuxième pays le plus peuplé d'Afrique après le Nigéria, et l'économie qui connaît la croissance la plus rapide de la région, mais c'est aussi le pays le plus pauvre", souligne ACF, précisant que "plus de 70% de la population vit de l'agriculture dans un pays de plus en plus frappé par les dérèglements climatiques". En outre, l'Éthiopie "souffre de l'insécurité alimentaire et des déplacements internes causés par la sécheresse, les épidémies et les inondations, ainsi que des chocs climatiques récurrents, qui s'ajoutent aux besoins humanitaires des populations les plus vulnérables".
Le pays est malheureusement habitué à ces conditions climatiques dures et à leurs répercussions sur la santé publique.
Par ailleurs, "les catastrophes naturelles s'enchainent en Éthiopie depuis des décennies, dans un pays déjà tristement fragilisé par des crises alimentaires", indique ACF. Car en 1983, "une famine sans précédent frappe la population et avait suscité l'émoi de la communauté internationale; définie comme la pire famine depuis le siècle dernier, elle avait laissé plus d'un millions de victimes et 2,5 millions de déplacés internes."
Déjà en 2016, "le pays avait dû affronter la pire sécheresse des 50 dernières années, près de 10 millions d'éthiopiens ont eu besoin d'une aide alimentaire d'urgence. Selon l'Organisation des Nations Unies, la forêt en Éthiopie recouvrait 4% du territoire dans les années 2000 alors qu'un siècle plus tôt elle en recouvrait 35%", poursuit Action contre la Faim.
Aujourd'hui encore, en 2019, "la menace de la sécheresse plane à nouveau sur la population, une grande partie des points d'eau sont asséchés", écrit dans son communiqué ACF. Ainsi, dans le village de Tesso Qelo, dans la région de Borena, "il ne reste que deux points d'eau encore actifs qui se trouvent à 3h de marche."