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Pour que les voyages reprennent, il va falloir des garanties. En gros tout ce qui peut permettre aux autorités qui reçoivent qu’elles n’accueillent pas des personnes contaminées par le Covid-19. Et si le vaccin est le principal espoir, on ne sait pas encore ce que vont décider les différents pays ou compagnies aériennes. Un passeport vaccinal comme pour les zones tropicales ? Des obligations comme la compagnie australienne Qantas ?
Dans un long article à ce sujet, Le Figaro fait le point sur les grands changements et particularités qui attendent les voyageurs de 2021 : « Un «laissez-passer de santé numérique» : c'est l'initiative lancée par l’Association internationale de transport aérien (IATA) qui regroupe 240 compagnies aériennes dans le monde. Ce dispositif est testé depuis le 23 décembre par Singapore Airlines sur certaines de ses lignes. Concrètement, la plateforme Travel Pass établit un lien entre les passagers, les compagnies aériennes, les autorités et les laboratoires. Objectif : faire redécoller le trafic aérien alors que les compagnies ont perdu plus de 60 % de leur chiffre d'affaires en 2020 . »
Des vols garantis sans covid ont été expérimentés par des compagnies comme Alitalia, KLM et Delta. « Ces « couloirs aériens» sont pour l'heure réservés aux voyages essentiels, dont ne font pas partie les déplacements touristiques. Pour embarquer, les passagers doivent se soumettre à une procédure stricte et assez contraignante. Sur les vols Atlanta-Amsterdam de KLM, par exemple, trois tests sont prévus sur l'ensemble du voyage : un PCR cinq jours avant le départ, un antigénique avant l'embarquement à Atlanta, puis un nouveau test PCR à l'arrivée à Amsterdam. Les clients arrivant aux Pays-Bas ou en Italie sont exemptés de la quarantaine normalement obligatoire pour les voyageurs en provenance des États-Unis. Chez Air France, de tels vols «Covid-free» sont à l'étude. La compagnie tricolore indique au Figaro travailler à un système de «corridor sanitaire» pour éviter les quarantaines à l'arrivée sur le sol américain. Le voyageur, muni du résultat d'un test PCR négatif, serait soumis à un test antigénique avant d'embarquer, puis à un autre à l'atterrissage. «Nous étudions des solutions basées sur des tests antigéniques à très grande échelle», nous glisse aussi une source interne au sein du groupe Aéroport de Paris (ADP) » explique le quotidien.
Dans un long article à ce sujet, Le Figaro fait le point sur les grands changements et particularités qui attendent les voyageurs de 2021 : « Un «laissez-passer de santé numérique» : c'est l'initiative lancée par l’Association internationale de transport aérien (IATA) qui regroupe 240 compagnies aériennes dans le monde. Ce dispositif est testé depuis le 23 décembre par Singapore Airlines sur certaines de ses lignes. Concrètement, la plateforme Travel Pass établit un lien entre les passagers, les compagnies aériennes, les autorités et les laboratoires. Objectif : faire redécoller le trafic aérien alors que les compagnies ont perdu plus de 60 % de leur chiffre d'affaires en 2020 . »
Des vols garantis sans covid ont été expérimentés par des compagnies comme Alitalia, KLM et Delta. « Ces « couloirs aériens» sont pour l'heure réservés aux voyages essentiels, dont ne font pas partie les déplacements touristiques. Pour embarquer, les passagers doivent se soumettre à une procédure stricte et assez contraignante. Sur les vols Atlanta-Amsterdam de KLM, par exemple, trois tests sont prévus sur l'ensemble du voyage : un PCR cinq jours avant le départ, un antigénique avant l'embarquement à Atlanta, puis un nouveau test PCR à l'arrivée à Amsterdam. Les clients arrivant aux Pays-Bas ou en Italie sont exemptés de la quarantaine normalement obligatoire pour les voyageurs en provenance des États-Unis. Chez Air France, de tels vols «Covid-free» sont à l'étude. La compagnie tricolore indique au Figaro travailler à un système de «corridor sanitaire» pour éviter les quarantaines à l'arrivée sur le sol américain. Le voyageur, muni du résultat d'un test PCR négatif, serait soumis à un test antigénique avant d'embarquer, puis à un autre à l'atterrissage. «Nous étudions des solutions basées sur des tests antigéniques à très grande échelle», nous glisse aussi une source interne au sein du groupe Aéroport de Paris (ADP) » explique le quotidien.