Les grands groupes restent toujours aussi attractifs pour les jeunes
Dans le palmarès des employeurs les plus désirés, Google, LVMH et L'Oréal tiennent le haut de l'affiche, confirmant leur statut d'entreprises de rêve. Ces géants continuent attirent par leur prestige et les opportunités qu'ils représentent, malgré des variations dans les classements sectoriels. Chez les ingénieurs, Thales, Dassault Aviation et EDF captent les regards, tandis que LVMH et L'Oréal restent les chouchous des étudiants en commerce, avec Hermès pour compléter le tableau. Les universitaires, pour leur part, plébiscitent tout autant le luxe, le conseil et les médias, avec une mention spéciale pour Décathlon.
« Les grandes entreprises sont plébiscitées par rapport aux start-up. Le besoin de stabilité est fort, même si l'idée de rester plus de 3/4 ans dans la même entreprise ne séduit guère », analyse Mathieu Gabai, président d’Epoka. L'étude révèle en effet que franchir le seuil des 40 heures hebdomadaires, est perçu comme « travailler beaucoup » pour 83% des sondés.
« Les grandes entreprises sont plébiscitées par rapport aux start-up. Le besoin de stabilité est fort, même si l'idée de rester plus de 3/4 ans dans la même entreprise ne séduit guère », analyse Mathieu Gabai, président d’Epoka. L'étude révèle en effet que franchir le seuil des 40 heures hebdomadaires, est perçu comme « travailler beaucoup » pour 83% des sondés.
Un nouveau regard sur le monde du travail
Ce palmarès révèle une évolution significative dans les attentes des jeunes diplômés. La recherche d'un salaire attractif, alliée à un cadre de travail stimulant et respectueux de l'équilibre personnel, marque un changement dans les priorités. La qualité de vie au travail se hisse d'ailleurs en haut du podium pour 86% des interrogés.
Néanmoins, le salaire domine la liste des critères de sélection des jeunes diplômés dans leur choix d'entreprises. Selon l'étude d'Epoka, la rémunération est une priorité pour 70% des 15.000 jeunes sondés, et elle est suivie de près par l'ambiance (61 à 66%) et les conditions de travail (54 à 59%). Autrement dit, pour les nouvelles générations, l'argent ne fait pas tout, elles sont davantage en recherche d'équilibre et de sens.
Néanmoins, le salaire domine la liste des critères de sélection des jeunes diplômés dans leur choix d'entreprises. Selon l'étude d'Epoka, la rémunération est une priorité pour 70% des 15.000 jeunes sondés, et elle est suivie de près par l'ambiance (61 à 66%) et les conditions de travail (54 à 59%). Autrement dit, pour les nouvelles générations, l'argent ne fait pas tout, elles sont davantage en recherche d'équilibre et de sens.