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Donald Trump s’en est encore pris à la Chine la semaine dernière, lui reprochant de ne pas être assez ferme avec la Corée du Nord. L’accalmie diplomatique entre les deux superpuissances mondiales de l’administration Obama étant remise en question, la France espère avoir un coup à jouer. D’abord dans le domaine climatique, sujet sur lequel la Chine envoie des signaux beaucoup plus encourageants que les Etats-Unis mais, par continuité dans le domaine économique et stratégique.
La mission s’annonce compliquée, étant donné le faible poids politique et diplomatique de la France en comparaison avec la Chine, mais l’Elysée persiste. Lors du voyage en Chine du président français du 8 au 10 janvier, « il devrait signer de nombreux accords économiques et culturels mais aussi nouer un "partenariat stratégique" avec Pékin, notamment sur le terrorisme et le climat, a expliqué l'Elysée jeudi. La France veut développer et "rééquilibrer" ses relations bilatérales avec la Chine, avec qui elle a un déficit commercial de 30 milliards d'euros, le plus important de son commerce extérieur. Pékin est son 2e fournisseur et son 8e client. Emmanuel Macron sera accompagné de plus de 50 chefs d'entreprises, dont ceux d'Airbus, Dassault, Auchan et Sodexo » écrit La Tribune , reprenant les déclarations du château présidentiel.
« Lors de ce voyage, Paris devrait notamment annoncer des ventes d'Airbus et de moteurs Safran, un accord dans le nucléaire où Areva négocie la construction d'une usine de retraitement des déchets radioactifs, ainsi que dans la construction de maisons de retraite avec le groupe Orpea. Dans l'agriculture, la France espère développer en Chine ses filières bovines, porcines et de volailles. Des accords devraient aussi être conclus dans l'intelligence artificielle - le mathématicien et député Cédric Villani est du voyage -, les villes durables et la culture avec le projet d'un Centre Pompidou provisoire à Shanghai » continue le site spécialisé.
Lire en intégralité l’article cité sur le site La Tribune
La mission s’annonce compliquée, étant donné le faible poids politique et diplomatique de la France en comparaison avec la Chine, mais l’Elysée persiste. Lors du voyage en Chine du président français du 8 au 10 janvier, « il devrait signer de nombreux accords économiques et culturels mais aussi nouer un "partenariat stratégique" avec Pékin, notamment sur le terrorisme et le climat, a expliqué l'Elysée jeudi. La France veut développer et "rééquilibrer" ses relations bilatérales avec la Chine, avec qui elle a un déficit commercial de 30 milliards d'euros, le plus important de son commerce extérieur. Pékin est son 2e fournisseur et son 8e client. Emmanuel Macron sera accompagné de plus de 50 chefs d'entreprises, dont ceux d'Airbus, Dassault, Auchan et Sodexo » écrit La Tribune , reprenant les déclarations du château présidentiel.
« Lors de ce voyage, Paris devrait notamment annoncer des ventes d'Airbus et de moteurs Safran, un accord dans le nucléaire où Areva négocie la construction d'une usine de retraitement des déchets radioactifs, ainsi que dans la construction de maisons de retraite avec le groupe Orpea. Dans l'agriculture, la France espère développer en Chine ses filières bovines, porcines et de volailles. Des accords devraient aussi être conclus dans l'intelligence artificielle - le mathématicien et député Cédric Villani est du voyage -, les villes durables et la culture avec le projet d'un Centre Pompidou provisoire à Shanghai » continue le site spécialisé.
Lire en intégralité l’article cité sur le site La Tribune