C’est comme si un grand vent de propre soufflait sur le ménage à domicile. En cause, deux start-ups spécialisées déboulent à Paris. L’une, Helping est arrivée de Berlin au mois de juin dernier, et l’autre, Hassle, vient de Londres. Dans tous les cas, elles surfent sur le même segment et désirent mettre le ménage à domicile à l’ère du numérique. Comment ? En plus d’être des plateformes Internet, les deux sites, Helping et Hassle proposent des applications mobiles : «Une sorte de marché numérique où les clients sont mis en relation avec des aides ménagères indépendantes qui interviennent comme auto-entrepreneuses», explique Michael Cohen, directeur d’Hassle France au site 20 Minutes. fr.
Simple comme un clic. En moins d’une minute, on peut réserver une aide ménagère à domicile. Il suffit de renseigner son code postal, la fréquence à laquelle on souhaite la faire venir chez soi, le nombre d’heures et les jours choisis. Une fois appuyé sur le bouton « ok », défile alors tout un panel d’hommes et de femmes de ménage inscrits et disponibles à proximité. En plus, l’utilisateur a accès aux évaluations des précédents clients qui ont utilisé leurs services.
La manip est très rapide. Cette brièveté est l’un des facteurs mis en avant par les deux sites : pas de devis, administratif simplifié, pas de durée minimale par mois mais un service à la demande et donc, beaucoup plus souple. Par exemple, sur la plateforme Hassle, il est possible d’annuler une « réservation » sans retenue en s’y prenant la veille. Les prix quant à eux sont plus attractifs que les agences classiques : 15,90 euros de l’heure, ramené à 7,95 euros après déduction fiscale.
En revanche, ces sites sont mis en concurrence avec l'emploi pratiqué au noir et ses prix cassés. Hassle et Helping ont d’ailleurs comme vocation d’endiguer le travail illégal qui plafonne dans ce domaine. En France, entre 30 et 40% des services à la personne seraient ainsi réalisés. «Au marché noir, une aide ménagère gagne en moyenne 10 euros de l’heure, indique Michael Cohen. Sur les 15,90 euros que nous facturons par heure au client, elle en récupère 13 sur Hassle.» De quoi faire le ménage.
Simple comme un clic. En moins d’une minute, on peut réserver une aide ménagère à domicile. Il suffit de renseigner son code postal, la fréquence à laquelle on souhaite la faire venir chez soi, le nombre d’heures et les jours choisis. Une fois appuyé sur le bouton « ok », défile alors tout un panel d’hommes et de femmes de ménage inscrits et disponibles à proximité. En plus, l’utilisateur a accès aux évaluations des précédents clients qui ont utilisé leurs services.
La manip est très rapide. Cette brièveté est l’un des facteurs mis en avant par les deux sites : pas de devis, administratif simplifié, pas de durée minimale par mois mais un service à la demande et donc, beaucoup plus souple. Par exemple, sur la plateforme Hassle, il est possible d’annuler une « réservation » sans retenue en s’y prenant la veille. Les prix quant à eux sont plus attractifs que les agences classiques : 15,90 euros de l’heure, ramené à 7,95 euros après déduction fiscale.
En revanche, ces sites sont mis en concurrence avec l'emploi pratiqué au noir et ses prix cassés. Hassle et Helping ont d’ailleurs comme vocation d’endiguer le travail illégal qui plafonne dans ce domaine. En France, entre 30 et 40% des services à la personne seraient ainsi réalisés. «Au marché noir, une aide ménagère gagne en moyenne 10 euros de l’heure, indique Michael Cohen. Sur les 15,90 euros que nous facturons par heure au client, elle en récupère 13 sur Hassle.» De quoi faire le ménage.
